ProlactineLa prolactine est une hormone peptidique sécrétée par les cellules lactotropes de la partie antérieure de l'hypophyse. Ses rôles sont multiples, elle intervient notamment dans la lactation, la reproduction, la croissance, l'immunité et le comportement. La prolactine est une protéine constituée de 199 acides aminés chez l'être humain et de poids moléculaire . Sa structure 3D possède 3 ponts disulfures, formant 3 liaisons covalentes. Elle possède 48 % d'acides aminés en commun avec l'hormone de croissance.
Lipoxygénasevignette|Image protéique de la base de données OPM La lipoxygénase est un type de protéine enzymatique qui catalyse l'oxydation des acides gras ou autres alcènes. Il en existe de multiples sortes. Elle entre notamment en jeu dans le métabolisme de l'arachidonate (acide eicosatétraénoïque) pour sa transformation en eicosanoïdes linéaires : les leucotriènes (dans les leucocytes, les poumons, le cœur, le cerveau et la rate), qui sont impliqués dans les réactions d'anaphylaxie.
Modèles du neurone biologiquevignette|390x390px|Fig. 1. Dendrites, soma et axone myélinisé, avec un flux de signal des entrées aux dendrites aux sorties aux bornes des axones. Le signal est une courte impulsion électrique appelée potentiel d'action ou impulsion. vignette|Figure 2. Évolution du potentiel postsynaptique lors d'une impulsion. L'amplitude et la forme exacte de la tension peut varier selon la technique expérimentale utilisée pour acquérir le signal.
Cellule pyramidaleLes cellules pyramidales sont un certain type de neurone. Leur nom vient de la morphologie triangulaire de leur péricaryon. Elles possèdent en outre un arbre dendritique très développé qui reçoit un grand nombre de synapses. Leur axone peut projeter à grande distance. De par leurs propriétés morphologiques, on pense que les cellules pyramidales jouent un rôle central dans l'intégration de signaux convergents. Par ailleurs, elles s'adressent aux motoneurones et ont la possibilité de commander la force de contraction des muscles.
Récepteur de la ryanodineLes récepteurs de la ryanodine RyR constituent une classe de canaux calciques dans diverses formes de muscles. Ce sont des homotétramères formés de 4 sous-unités identiques, insérées dans la membrane du réticulum sarcoplasmique. Chaque monomère comporte 4 hélices transmembranaires qui entourent un canal permettant la sortie des ions calcium Ca de la lumière du réticulum vers le cytoplasme. Leur ouverture est déclenchée par des concentrations micromolaires d'ions calcium ou par la ryanodine (mais inhibitrice à forte dose) ou la caféine.
Système de récompenseLe système de récompense / renforcement aussi appelé système hédonique, est un système fonctionnel fondamental des mammifères, situé dans le cerveau, le long du faisceau médian du télencéphale. Ce système de « récompenses » est indispensable à la survie, car il fournit la motivation nécessaire à la réalisation d'actions ou de comportements adaptés, permettant de préserver l'individu et l'espèce (prise de risque nécessaire à la survie, recherche de nourriture, reproduction, évitement des dangers, etc.).
Cellule de Purkinjevignette|Cellules de Purkinje. vignette|Dessin de cellules de Purkinje (A) et de grains (B) chez le pigeon par Santiago Ramón y Cajal, 1899. Les cellules de Purkinje sont des neurones GABAergiques du cortex cérébelleux, découvertes par Jan Purkinje au cours du . Elles présentent un corps cellulaire piriforme coiffé par une arborescence dendritique parasagittale s'épanouissant par bifurcations successives dans la couche cellulaire, et émettent un axone descendant dans la couche granulaire vers les noyaux cérébelleux profonds.
EicosanoïdeLes eicosanoïdes (du grec ancien / eíkosi , signifiant « vingt ») ou icosanoïdes sont une vaste famille de dérivés d'oxydation d'acides gras polyinsaturés à 20 atomes de carbone comme l'acide arachidonique (C20:4 (ω-6)). Cycliques ou linéaires (leucotriènes), ils sont rangés en deux types : les leucotriènes (LT) ; les prostanoïdes, parmi lesquelles : les prostaglandines (PG), les thromboxanes (TX), les prostacyclines (PGI). Ils dérivent d’acides gras polyinsaturés (AGPI) à 20 atomes de carbone.