Limite de stabilitédroite|vignette|388x388px|Carte des nucléides du carbone au fluor. Modes de décroissance : En physique nucléaire, les frontières pour la stabilité des noyaux sont appelées limites de stabilité ou drip lines. Les noyaux atomiques contiennent à la fois des protons et des neutrons - le nombre de proton définit l'identité d'un élément (par exemple, le carbone a toujours 6 protons), mais le nombre de neutrons peut varier (le carbone 13 et le carbone 14 sont par exemple deux isotopes du carbone).
Neutrino stérileLe neutrino stérile est un type hypothétique de neutrino qui n'interagit via aucune des interactions fondamentales du modèle standard de la physique des particules, hormis la gravité. C'est un neutrino dextrogyre (autrement dit à chiralité droite) léger ou bien un antineutrino lévogyre qui pourrait s'ajouter au modèle standard, et prendre part aux phénomènes tels que le mélange des neutrinos. Le terme neutrino stérile est utilisé pour le distinguer du neutrino actif du modèle standard, qui dispose d'une charge pour l'interaction faible.
Nébuleuse de vent de pulsarvignette|La nébuleuse du Crabe, vue ici par le télescope Hubble, est un exemple de plérion. En astronomie, une nébuleuse de vent de pulsar, en abrégé PWN (de l'anglais pulsar wind nebula), ou un plérion, est un rémanent de supernova dont l'intensité décroît du centre au bord. On parle également de rémanent « plein ». « Nébuleuse de vent de pulsar » ou « nébuleuse à vent de pulsar » est un calque de l'anglais pulsar wind nebula, souvent abrégé PWN. Le mot « plérion », tiré du grec πλήρης (plếrês, « plein ») a été proposé par et en 1978.
Standard solar modelThe standard solar model (SSM) is a mathematical treatment of the Sun as a spherical ball of gas (in varying states of ionisation, with the hydrogen in the deep interior being a completely ionised plasma). This model, technically the spherically symmetric quasi-static model of a star, has stellar structure described by several differential equations derived from basic physical principles. The model is constrained by boundary conditions, namely the luminosity, radius, age and composition of the Sun, which are well determined.
Paradoxe de Fermivignette|Vue d'artiste des trois étoiles de l'exoplanète HD 188753 Ab, à partir d'un hypothétique satellite de cette dernière. Le paradoxe de Fermi est le nom donné à une série de questions que s'est posées le physicien italien Enrico Fermi en 1950, alors qu'il débattait avec des amis de la possibilité d'une vie extraterrestre et d'une visite d'extraterrestres. Fermi, lauréat du prix Nobel en 1938, et alors qu'il est impliqué dans le projet Manhattan à Los Alamos aux États-Unis, déjeune avec plusieurs de ses amis et collègues (Emil Konopinski, Edward Teller et Herbert York).
Search for Extra-Terrestrial IntelligenceSearch for Extra-Terrestrial Intelligence (en français « Recherche d’intelligence extraterrestre ») généralement désigné par son acronyme SETI regroupe des projets scientifiques essentiellement américains dont l'objectif est de détecter la présence de civilisations extraterrestres avancées présentes dans d'autres systèmes solaires.