Graphe orienté acycliqueEn théorie des graphes, un graphe orienté acyclique (en anglais directed acyclic graph ou DAG), est un graphe orienté qui ne possède pas de circuit. Un tel graphe peut être vu comme une hiérarchie. Un graphe orienté acyclique est un graphe orienté qui ne possède pas de circuit. On peut toujours trouver un sous-graphe couvrant d’un graphe orienté acyclique qui soit un arbre (resp. une forêt). Dans un graphe orienté acyclique, la relation d'accessibilité R(u, v) définie par « il existe un chemin de u à v » est une relation d'ordre partielle.
Langage rationnelEn théorie des langages, les langages rationnels ou langages réguliers ou encore langages reconnaissables peuvent être décrits de plusieurs façons équivalentes : ce sont les langages décrits par les expressions régulières ou rationnelles, d'où le nom de langages réguliers ; ce sont les langages obtenus, à partir des lettres et de l'ensemble vide, par les opérations rationnelles, à savoir l'union, le produit et l'étoile de Kleene, d'où le nom de langages rationnels ; ce sont les langages reconnus par des auto
A¹ homotopy theoryIn algebraic geometry and algebraic topology, branches of mathematics, A1 homotopy theory or motivic homotopy theory is a way to apply the techniques of algebraic topology, specifically homotopy, to algebraic varieties and, more generally, to schemes. The theory is due to Fabien Morel and Vladimir Voevodsky. The underlying idea is that it should be possible to develop a purely algebraic approach to homotopy theory by replacing the unit interval [0, 1], which is not an algebraic variety, with the affine line A1, which is.
Graphe hypohamiltonienEn théorie des graphes, un graphe est hypohamiltonien s'il n'a pas de cycle hamiltonien mais que la suppression de n'importe quel sommet du graphe suffit à le rendre hamiltonien. Les graphes hypohamiltoniens furent étudiés pour la première fois par Sousselier en 1963 dans Problèmes plaisants et délectables. Sous forme d'une petite énigme la notion est introduite. L'énoncé demande de trouver un tel graphe d'ordre 10 (le graphe de Petersen) et de prouver que cet ordre est minimal, c'est-à-dire qu'il n'existe pas de graphe hypohamiltonien à moins de 10 sommets.
Configuration (géométrie)En géométrie, une configuration est la donnée de plusieurs éléments géométriques (points, droites, cercles, plans, angles, vecteurs...) munis de relations associées (appartenance ou incidence, parallélisme, orthogonalité...) Le terme est présent dans l’enseignement des mathématiques en France depuis 1990 en remplacement parfois du mot « figure » mais en distinguant plus spécifiquement le rôle des éléments. Ainsi, on peut considérer par exemple la configuration du théorème de Thalès ou la configuration de Möbius.
Chain (algebraic topology)In algebraic topology, a -chain is a formal linear combination of the -cells in a cell complex. In simplicial complexes (respectively, cubical complexes), -chains are combinations of -simplices (respectively, -cubes), but not necessarily connected. Chains are used in homology; the elements of a homology group are equivalence classes of chains. For a simplicial complex , the group of -chains of is given by: where are singular -simplices of . Note that any element in not necessary to be a connected simplicial complex.
Grammaire régulièreEn informatique théorique, en théorie des langages, une grammaire régulière, rationnelle ou à états finis est une grammaire hors-contexte particulière qui décrit un langage régulier. Les grammaires régulières donnent donc une autre possibilité que les expressions rationnelles et les automates finis pour décrire un langage régulier. Une grammaire régulière peut être « à gauche » ou « à droite ». Une grammaire régulière à gauche est un ensemble de règles de la forme : où , sont des symboles non-terminaux et un symbole terminal.
Plan de Fanothumb|Une représentation du plan de Fano (les six segments et le cercle représentent les 7 droites). En géométrie projective finie, le plan de Fano, portant le nom du mathématicien Gino Fano, est le plus petit plan projectif fini, c'est-à-dire celui comportant le plus petit nombre de points et de droites, à savoir 7 de chaque. C'est le seul plan projectif (au sens des axiomes d'incidence) de 7 points, et c'est le plan projectif sur le corps fini à deux éléments.