Persan (chat)Le persan est une race de chats à poil long originaire d’Iran. Ce chat de taille moyenne à grande est caractérisé par son poil long et abondant, sa silhouette toute en rondeur et son visage au museau très court. La durée de vie d'un chat Persan se situe entre . Reconnue depuis la fin du , la race est d'abord modifiée par les Britanniques, puis essentiellement aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale. La sélection menée par les éleveurs a permis le développement d'une grande variété de robes, mais aussi d'une forme de visage très écrasée et controversée.
Immeuble de Bruhat-TitsEn mathématiques, un immeuble, aussi appelé l’immeuble Tits et l’immeuble Bruhat-Tits (nommé d'après François Bruhat et Jacques Tits) est une structure combinatoire et géométrique qui généralise simultanément certains aspects des variétés de drapeaux, des plans projectifs finis et des espaces riemanniens symétriques. Introduite par Jacques Tits comme moyen de comprendre la structure des groupes exceptionnels de type de Lie, la théorie a également été utilisée pour l'étude de la géométrie et de la topologie des espaces homogènes des groupes de Lie p-adiques et leurs sous-groupes de symétrie discrets, de la même manière que les arbres ont été utilisés pour étudier les groupes libres.
SphynxLe sphynx est une race de chats originaire du Canada. Ce chat est caractérisé par la quasi-absence de sa fourrure. C'est en 1966 au Canada qu'une chatte de gouttière donna naissance à une portée de chatons nus. Deux chattes furent ramenées aux Pays-Bas par le docteur Hugo Hernandez, où elles furent croisées avec des devon rex. Une portée entière est importée en France en 1983 par l'éleveur français Patrick Challain qui les présenta un an plus tard à l'exposition féline de Baltard.
Point à l'infiniEn mathématiques, et plus particulièrement en géométrie et en topologie, on appelle point à l'infini un objet adjoint à l'espace que l'on veut étudier pour pouvoir plus commodément y définir certaines notions de limites « à l'infini », ou encore pour obtenir des énoncés plus uniformes, tels que « deux droites se coupent toujours en un point, situé à l'infini si elles sont parallèles ». La notion de point à l'infini apparait au dans le cadre du développement des méthodes de la perspective conique, avec l'invention de la « costruzione abbreviata » d'Alberti.