Schistosoma mansoniou est un ver plat parasite, appartenant à l’embranchement des Plathelminthes (vers plats), à la classe des Trématodes (appareil digestif avec cæcum), à l’ordre des Strigeatida (ventouses ventrale et buccale), la famille des Schistosomatidés (cercaires libres) et enfin au genre Schistosoma, car l’hôte définitif est un mammifère. Ce parasite a un cycle à deux hôtes : le premier (hôte intermédiaire) est le mollusque d'eau douce Biomphalaria glabrata au sein duquel il effectue une multiplication asexuée (clonale) ; le second hôte (hôte définitif) est l'humain au sein duquel a lieu une reproduction sexuée.
Hématuriethumb|Hématurie microscopique : globules rouges dans l'urine au microscope. thumb|Hématurie macroscopique et bandelette urinaire positive. L'hématurie est la présence de sang dans les urines lors de la miction, plus précisément celle de globules rouges en quantité anormalement élevée (rarement grave par son abondance mais impose la recherche de son étiologie). Une hématurie macroscopique est détectable à l'œil nu, l'urine est de couleur rouge, ce qui correspond à un débit > hématies/min .
UrètreL'urètre (orthographié parfois urèthre) est le canal de sortie de la vessie. Il a une fonction excrétrice dans les deux sexes (sortie de l’urine) et de plus chez l’homme une fonction reproductrice (passage du sperme). Urétral (ou uréthral) est l’adjectif correspondant (noter le changement d’accent sur le e). Le sphincter de l'urètre est le muscle qui permet le contrôle volontaire sur la miction. Il ne faut pas confondre l’urètre et l’uretère, qui est le conduit qui part des reins et transporte l'urine vers la vessie.
UretèreEn anatomie humaine, les uretères (le nom est masculin) sont les deux conduits qui transportent l'urine des bassinets vers la vessie. Les uretères sont des tubes musculaires qui poussent l'urine par des mouvements péristaltiques. Chez l'adulte, ils mesurent habituellement 25 à de long. L'uretère comprend plusieurs parties. À la sortie du rein, une première partie dilatée : l'infundibulum d'un diamètre de . Ensuite un premier rétrécissement : le collet (isthme) ; puis l'uretère s'élargit à nouveau et forme le fuseau lombaire (jusqu'à de diamètre).
Maladie de LymeLa maladie de Lyme est une maladie vectorielle et une zoonose (maladie infectieuse touchant l'être humain et de nombreux animaux). La maladie de Lyme est nommée d'après les villes de Lyme et Old Lyme, deux villes des États-Unis, dans l'État du Connecticut où elle a été signalée pour la première fois en 1975 et identifiée en 1977. Transmise par piqûre de tiques dures du genre Ixodes, c'est une maladie bactérienne, due à une borrélie (Borrelia burgdorferi, au sens étroit, prédominante en Amérique du Nord).
Taux de létalitéLe taux de létalité (souvent dit létalité) est la proportion de décès liés à une maladie ou à une affection particulière, par rapport au nombre total de cas atteints par la maladie ou concernés par la condition particulière (par exemple : exposition à un risque naturel ou industriel). Il est plus fréquemment utilisé pour les infections sur des durées limitées et des infections aigües. On ne doit pas le confondre avec le taux de mortalité qui exprime le rapport du nombre de décès (toutes causes confondues) dans une population et pendant une période donnée sur l'effectif de la population pendant ladite période.
Value at riskLa VaR (de l'anglais value at risk, mot à mot : « valeur à risque », ou « valeur en jeu ») est une notion utilisée généralement pour mesurer le risque de marché d'un portefeuille d'instruments financiers. Elle correspond au montant de pertes qui ne devrait être dépassé qu'avec une probabilité donnée sur un horizon temporel donné. L'utilisation de la VaR n'est désormais plus limitée aux instruments financiers : on peut en faire un outil de gestion des risques dans tous les domaines (, par exemple).
Étude d'impactUne étude d'impact est une étude technique qui vise à apprécier les conséquences de toutes natures, notamment environnementales, d'un projet d'aménagement pour tenter d'en limiter, atténuer ou compenser les effets négatifs. La prise de conscience, dans les années 1970, de la nécessité de limiter les dommages à la nature s’est concrétisée par des lois obligeant à réduire les nuisances et pollutions, et à atténuer les impacts des grands projets (ou de projets dépassant un certain coût).
PrévalenceEn épidémiologie, la prévalence est le rapport entre l'ensemble des cas présents ou passés d'un évènement ou d'une maladie et l'ensemble de la population exposée, à une date donnée. Ce rapport représente la proportion de personnes concernées par le phénomène et n'a pas d'unité. Prévalence et taux de prévalence sont deux termes équivalents. La prévalence est exprimée en pourcentage, en taux pour une population donnée, par exemple 100 000 individus (mais tout autre nombre est possible et doit être précisé).
GéostatistiqueLa géostatistique est l'étude des variables régionalisées, à la frontière entre les mathématiques et les sciences de la Terre. Son principal domaine d'utilisation a historiquement été l'estimation des gisements miniers, mais son domaine d'application actuel est beaucoup plus large et tout phénomène spatialisé peut être étudié en utilisant la géostatistique. L'histoire de la géostatistique est liée à l'estimation des gisements exploités dans les mines. Dans les années 1950, un professeur de l'université du Witwatersrand en Afrique du Sud, Danie G.