Réponse hémodynamiqueLa réponse hémodynamique est un mécanisme physiologique qui consiste en une augmentation locale du débit sanguin afin de subvenir au besoin énergétiques des cellules en activité. vignette|La réponse hémodynamique canonique. Le pic correspond à une période brève mais intense de stimulation neuronale, qui nécessite une augmentation du flux de sang et de nutriments. Dès que ce besoin cesse, le débit sanguin retourne à ses niveaux homéostatiques.
Modèles du neurone biologiquevignette|390x390px|Fig. 1. Dendrites, soma et axone myélinisé, avec un flux de signal des entrées aux dendrites aux sorties aux bornes des axones. Le signal est une courte impulsion électrique appelée potentiel d'action ou impulsion. vignette|Figure 2. Évolution du potentiel postsynaptique lors d'une impulsion. L'amplitude et la forme exacte de la tension peut varier selon la technique expérimentale utilisée pour acquérir le signal.
Cortex orbitofrontalLe cortex orbitofrontal (OF) est une région du cortex cérébral qui entre en jeu dans le processus de décision. Il est situé en position antérieure et sur la face inférieure du cortex préfrontal. Il prend son nom des lobes frontaux et du fait qu'il est situé au-dessus des orbites. Cette partie du cortex préfrontal est en connexion avec le thalamus. Parce qu'il est actif dans les émotions et le système de récompense, le cortex orbitofrontal est souvent considéré comme faisant partie du système limbique. Orbi
CortexEn biologie, le cortex (mot latin signifiant écorce, l'adjectif étant cortical) est la couche superficielle ou périphérique d'un tissu organique. Le cortex cellulaire est une couche spécialisée de cytoplasme sur la face interne de la membrane plasmique. Par métonymie, le terme sert souvent à désigner spécifiquement le cortex cérébral, ainsi on parlera du cortex pariétal pour désigner la couche de neurones du cerveau formant le cortex du lobe pariétal. Exemples d'organes présentant un cortex identifié : cer
Potentialisation à long termevignette|300x300px|La potentialisation à Long terme (PLT) est une augmentation persistante de la force synaptique après stimulation à haute fréquence d'une synapse chimique. Des études de la PLT sont souvent réalisées dans des parties de l'hippocampe, un organe important pour l'apprentissage et la mémoire. Dans ces études, les enregistrements électriques sont obtenus à partir de cellules et tracés dans un graphique comme celui-ci. Ce graphique compare la réponse à des stimuli au niveau des synapses qui ont subi PLT contre les synapses qui n'ont pas subi la PLT.
Neurosciences computationnellesLes neurosciences computationnelles (NSC) sont un champ de recherche des neurosciences qui s'applique à découvrir les principes computationnels des fonctions cérébrales et de l'activité neuronale, c'est-à-dire des algorithmes génériques qui permettent de comprendre l'implémentation dans notre système nerveux central du traitement de l'information associé à nos fonctions cognitives. Ce but a été défini en premier lieu par David Marr dans une série d'articles fondateurs.
NeurolinguistiqueNeurolinguistics is the study of neural mechanisms in the human brain that control the comprehension, production, and acquisition of language. As an interdisciplinary field, neurolinguistics draws methods and theories from fields such as neuroscience, linguistics, cognitive science, communication disorders and neuropsychology. Researchers are drawn to the field from a variety of backgrounds, bringing along a variety of experimental techniques as well as widely varying theoretical perspectives.
Dépression synaptique à long termeLa dépression à long terme (DLT) est « une réduction durable de l'efficacité de la transmission synaptique qui fait suite à certains types de stimulation ». Dans la dépression à long terme l'efficacité synaptique se trouve réduite. Cela est dû au fait que les éléments pré-synaptiques et post-synaptiques des neurones ont une décharge nerveuse asynchrone ou ne déchargent plus d'influx nerveux. La puissance de l'influx nerveux est influencée par la participation des récepteurs NDMA, et de leur influx calcique (Ca2+).
Neurosciencesthumb|250px|Dessin de neurones du cervelet de pigeon par Santiago Ramón y Cajal (1899). Les neurosciences sont les études scientifiques du système nerveux, tant du point de vue de sa structure que de son fonctionnement, depuis l'échelle moléculaire jusqu'au niveau des organes, comme le cerveau, voire de l'organisme tout entier. Le champ de la recherche en neurosciences est un champ transdisciplinaire : la biologie, la chimie, les mathématiques, la bio-informatique ainsi que la neuropsychologie sont utilisées en neurosciences.
Modèle animalUn modèle animal ou modèle animal de maladie est un animal non humain ayant une affection similaire à une affection humaine et servant de modèle pour l'étude de cette affection. L'American National Research Council Committee on Animal Models for Research and Aging propose la définition suivante : « En recherche biomédicale, un modèle animal est un modèle permettant l'étude de données de référence sur la biologie ou le comportement, ou chez lequel on peut étudier un processus pathologique spontané ou induit, celui-ci ayant un ou plusieurs aspects communs avec un phénomène équivalent chez l'humain ou d'autres espèces animales.