Richesse spécifiquevignette|, montrant les principaux taxons. La largeur des branches représente la richesse spécifique de ces taxons. La richesse spécifique, ou diversité alpha, est une mesure de la biodiversité de tout ou partie d'un écosystème ; elle désigne le nombre d'espèces présentes dans un milieu donné. Désigne la variété et la variabilité (prend en compte tous les niveaux taxonomiques du règne à la sous-espèce ou à la race) parmi les diverses formes de vie et dans les complexes écologiques dans lesquels elles se rencontrent.
Ombrotrophievignette|Les précipitations s'accumulent dans de nombreuses tourbières (bog) formant des bassins de tourbières (bog pools). Les sols ou la végétation ombrotrophes ("alimentés par la pluie") reçoivent toute leur eau et leurs nutriments des précipitations, plutôt que des cours d'eau ou des sources. Ces environnements sont isolés hydrologiquement du paysage environnant et, comme la pluie est acide et contient très peu de nutriments, ils abritent des organismes tolérants aux environnements acides et peu nutritifs.
Écozone paléarctiquethumb|250px|Carte de l'écozone paléarctiqueCe type de projection cartographique surestime les surfaces de hautes latitudes L'écozone paléarctique est l'une des huit écozones ou régions biogéographiques terrestres. Elle correspond essentiellement aux écorégions terrestres de l'Europe, de l'Afrique du Nord (jusqu'au Sahel septentrional), des deux-tiers nord de l'Asie (jusqu'à l'Himalaya), et du Moyen-Orient (sauf l'Arabie). D'un point de vue physique, c'est une écozone de très grande surface, mais relativement peu variée, car de climat essentiellement tempéré ou froid.
ÉcozoneDans certains systèmes de classification écologique des territoires biogéographiques terrestres, une écozone est définie comme étant une partie de la surface terrestre représentative d'une unité écologique à grande échelle, caractérisée par des facteurs abiotiques (non vivants) et biotiques (vivants) particuliers. Le système des écozones est proposé par Miklos Udvardy dans un objectif de conservation en 1975. Il est maintenant utilisé internationalement comme système unifié à des fins d’identification biogéographique et de conservation.