Espace pseudo-euclidienEn mathématiques, et plus particulièrement en géométrie, un espace pseudo-euclidien est une extension du concept d'espace euclidien, c'est-à-dire que c'est un espace vectoriel muni d'une forme bilinéaire (qui définirait la métrique dans le cas d'un espace euclidien), mais cette forme n'est pas définie positive, ni même positive. L'espace de Minkowski est un exemple d'espace pseudo-euclidien. Dans les espaces euclidiens, les notions de métrique et d'orthogonalité sont construites par l'adjonction d'un produit scalaire à un espace vectoriel réel de dimension finie.
Clique (théorie des graphes)thumb|Exemple de graphe possédant une 3-clique (en rouge) : les trois sommets de ce sous-graphe sont tous adjacents deux-à-deux. thumb|Exemple de « biclique » : le graphe biparti complet K3,3. Une clique d'un graphe non orienté est, en théorie des graphes, un sous-ensemble des sommets de ce graphe dont le sous-graphe induit est complet, c'est-à-dire que deux sommets quelconques de la clique sont toujours adjacents. Une clique maximum d'un graphe est une clique dont le cardinal est le plus grand (c'est-à-dire qu'elle possède le plus grand nombre de sommets).
Grundy numberIn graph theory, the Grundy number or Grundy chromatic number of an undirected graph is the maximum number of colors that can be used by a greedy coloring strategy that considers the vertices of the graph in sequence and assigns each vertex its first available color, using a vertex ordering chosen to use as many colors as possible. Grundy numbers are named after P. M. Grundy, who studied an analogous concept for directed graphs in 1939. The undirected version was introduced by .
Problème à promesseDans la théorie de la complexité computationnelle, un problème à promesse est une généralisation d'un problème de décision où l'entrée doit appartenir à un sous-ensemble donné de toutes les entrées possibles (la promesse ou précondition), et la sortie reste binaire. Contrairement aux problèmes de décision, les instances positives et négatives n'épuisent pas l'ensemble de toutes les entrées. Si une entrée qui ne satisfait pas la promesse est donnée à un algorithme pour résoudre un problème de promesse, l'algorithme est autorisé à produire n'importe quoi, et peut même ne pas s'arrêter.
Test oracleIn computing, software engineering, and software testing, a test oracle (or just oracle) is a mechanism for determining whether a test has passed or failed. The use of oracles involves comparing the output(s) of the system under test, for a given test-case input, to the output(s) that the oracle determines that product should have. The term "test oracle" was first introduced in a paper by William E. Howden. Additional work on different kinds of oracles was explored by Elaine Weyuker.