Physical cosmologyPhysical cosmology is a branch of cosmology concerned with the study of cosmological models. A cosmological model, or simply cosmology, provides a description of the largest-scale structures and dynamics of the universe and allows study of fundamental questions about its origin, structure, evolution, and ultimate fate. Cosmology as a science originated with the Copernican principle, which implies that celestial bodies obey identical physical laws to those on Earth, and Newtonian mechanics, which first allowed those physical laws to be understood.
Objet célesteAn astronomical object, celestial object, stellar object or heavenly body is a naturally occurring physical entity, association, or structure that exists within the observable universe. In astronomy, the terms object and body are often used interchangeably. However, an astronomical body or celestial body is a single, tightly bound, contiguous entity, while an astronomical or celestial object is a complex, less cohesively bound structure, which may consist of multiple bodies or even other objects with substructures.
Cosmologie non standardUne cosmologie non standard est un modèle cosmologique physique de l'Univers qui a été, ou est toujours, proposé comme alternative au modèle standard de la cosmologie actuellement en vigueur. Le terme non standard s’applique à toute théorie non conforme au consensus scientifique. Comme le terme dépend du consensus en vigueur, sa signification change avec le temps. Par exemple, la matière noire tiède n'aurait pas été considérée comme non standard en 1990, mais l'est en 2010.
Exoplanètevignette|Vue d'artiste des trois étoiles de l'exoplanète HD 188753 Ab (l'une des étoiles étant couchée), à partir d'un hypothétique satellite de cette dernière. Une exoplanète, ou planète extrasolaire, est une planète située en dehors du Système solaire. L'existence de planètes situées en dehors du Système solaire est évoquée dès le , mais ce n'est qu'au cours du que les exoplanètes deviennent l'objet de recherches scientifiques. Beaucoup d'astronomes supposent qu'elles peuvent exister, mais aucun moyen technique observationnel ne permet de prouver leur existence.
Planètethumb|Les huit planètes connues du Système solaire : 1. Mercure ;2. Vénus ;3. Terre ;4. Mars ;5. Jupiter ;6. Saturne ;7. Uranus ;8. Neptune.Leurs tailles respectives et celle du Soleil (en haut du schéma) sont respectées, mais pas les distances ni les luminosités. Une planète est un corps céleste orbitant autour du Soleil ou d'une autre étoile, possédant une masse suffisante pour que sa gravité la maintienne en équilibre hydrostatique, c'est-à-dire sous une forme presque sphérique, et ayant « nettoyé le voisinage de son orbite », c'est-à-dire éliminé tout objet de taille comparable se déplaçant sur son orbite ou sur une orbite proche.
Halo de matière noirevignette|Halo de matière noire créé par une simulation cosmologique à N corps. Un halo de matière noire est un composant hypothétique d'une galaxie qui enveloppe le disque galactique et s'étend bien au-delà des limites visibles de la galaxie. La masse du halo est la portion dominante de la masse totale de la galaxie. Étant donné qu'ils sont constitués de matière noire, les halos ne peuvent pas être observés directement, mais leur existence est déduite de leurs effets sur le mouvement des étoiles et du gaz dans les galaxies.
Planète Neufupright=1.5|vignette|Les orbites de six des objets mineurs connus les plus éloignés autour du Soleil, à savoir : les trois sednoïdes (), () et et d'autres transneptuniens extrêmes (), , , et .Leur orientation similaire suggère l'existence d'une planète bien au-delà de Neptune, la « planète Neuf ». La (nom provisoire en l'attente de toute confirmation éventuelle, Planet Nine en anglais), ou , est une planète hypothétique du Système solaire.
Astronomie d'observationvignette|droite|Le télescope Mayall à l'observatoire national de Kitt Peak. L'astronomie d'observation ou astronomie observationnelle est la partie « pratique » de l'astronomie, basée sur des observations astronomiques. Elle est à l'origine du processus de création et de validation des théories astrophysiques. Elle peut soit confirmer des calculs et modèles déjà établis, soit révéler des phénomènes inconnus, que les théoriciens s'efforcent d'expliquer. La pratique de l'astronomie d'observation remonte à plusieurs siècles avant la naissance de Jésus-Christ.
Laser à colorantvignette|316x316px|Gros plan d'un laser à colorant CW de table à base de rhodamine 6G, émettant à 580 nm (jaune). Le faisceau laser émis est visible sous forme de lignes jaunes pâles entre la fenêtre jaune (au centre) et l'optique jaune (en haut à droite), où il se reflète à travers l'image vers un miroir invisible, et revient dans le jet de colorant depuis le coin inférieur gauche. La solution de colorant orange entre dans le laser par la gauche et sort par la droite, toujours brillante de phosphorescence triplet, et est pompée par un faisceau de 514 nm (bleu-vert) provenant d'un laser à argon.
Vitesse radialethumb|La vitesse V(t) d'un objet à la position x(t) a une composante radiale VR(t) par rapport à l'observateur qui peut varier grandement avec la trajectoire de l'objet (en pointillés rouges). La vitesse radiale est la vitesse d'un objet mesurée dans la direction du rayon (ou la ligne de visée) vers (valeur négative) ou depuis (valeur positive) le point d'observation. La mesure de la vitesse radiale se fait de plusieurs façons et ce concept est utilisé dans de nombreux domaines dont la mesure par radar Doppler, les sonars, les échographies et en astronomie.