Surface superhydrophobeUne surface superhydrophobe est une surface extrêmement difficile à mouiller (avec l'eau, et a priori avec n'importe quel liquide). À la différence de l'hydrophobie, qui est une propriété chimique ou physico-chimique, la superhydrophobie est une propriété physique. Elle est décrite par la loi de Cassie, selon laquelle un angle de contact supérieur à 150° ne permet pas à l'eau d'accrocher (si 90° < θ < 150°, on parle d'effet hydrophobe).
Interface graphiquethumb|Quelques widgets typiques. En informatique, une interface graphique (en anglais GUI pour graphical user interface) ou un environnement graphique est un dispositif de dialogue homme-machine, dans lequel les objets à manipuler sont dessinés sous forme de pictogrammes à l'écran, de sorte que l'usager peut les utiliser en imitant la manipulation physique de ces objets avec un dispositif de pointage, le plus souvent une souris. Ce type d'interface a été créé en 1973 sur le Xerox Alto par les ingénieurs du Xerox PARC pour remplacer les interfaces en ligne de commande.
Streaming currentA streaming current and streaming potential are two interrelated electrokinetic phenomena studied in the areas of surface chemistry and electrochemistry. They are an electric current or potential which originates when an electrolyte is driven by a pressure gradient through a channel or porous plug with charged walls. The first observation of the streaming potential is generally attributed to the German physicist Georg Hermann Quincke in 1859.
Règles de PaulingLa stabilité des cristaux ioniques peut être déduite à l'aide de quelques règles énoncées par Linus Pauling en 1929. Ces règles rendent compte de la structure des solides inorganiques lorsque : des liaisons chimiques existent seulement entre atomes différents (cations et anions) ; la contribution du caractère ionique aux liaisons entre cations et anions est prépondérante ; les polyèdres de coordination ont une géométrie idéale.
Grandeur molaire partielleEn thermodynamique, une grandeur molaire partielle quantifie l'évolution d'une grandeur extensive d'un système thermodynamique en fonction de l'évolution de la quantité de l'un de ses constituants. La grandeur molaire partielle, notée , d'un corps dans un mélange est définie par la dérivée partielle de la grandeur extensive totale du mélange par rapport à la quantité (nombre de moles) du corps , à pression , température et quantités des autres composants du mélange constantes : La grandeur molaire partielle d'un corps dans un mélange représente la contribution du corps à la grandeur totale du mélange : celle-ci est en effet reliée aux grandeurs molaires partielles de tous les constituants du mélange par le théorème d'Euler.