Économie collaborativeLéconomie collaborative ou économie de partage regroupe les activités économiques qui reposent sur le partage ou la mutualisation des biens, savoirs, services ou espaces et sur l'usage plutôt que la possession. Popularisé par le livre de Rachel Botsman et Roo Rogers What’s Mine Is Yours: How Collaborative Consumption is Changing the Way We Live, le terme d'économie collaborative et le champ qu'il recouvre ne font pas l'objet d'un consensus.
Croissance économiquethumb|upright=2|Contribution (en %) de la croissance des pays à celle mondiale (2011). La croissance économique désigne la variation positive de la production de biens et de services dans une économie sur une période donnée, généralement une longue période. En pratique, l'indicateur le plus utilisé pour la mesurer est le produit intérieur brut (PIB). Il est mesuré « en volume » ou « à prix constants » pour corriger les effets de l'inflation. Le taux de croissance, lui, est le taux de variation du PIB.
Modèles d'équilibre général dynamique stochastiqueUn modèle d'équilibre général dynamique stochastique (en anglais, Dynamic Stochastic General Equilibrium, DSGE) est un modèle économique qui se base sur la théorie de l'équilibre général afin de permettre d'évaluer l'impact macroéconomique d'une politique monétaire ou budgétaire. Le modèle DSGE a été créé par l'école de la nouvelle économie keynésienne sur la base des travaux des modèles de cycles réels (modèles RBC) de Finn E. Kydland et Edward C. Prescott.
OptionEn finance, une option est un produit dérivé qui établit un contrat entre un acheteur et un vendeur. L'acheteur de l'option obtient le droit, et non pas l'obligation, d'acheter (call) ou de vendre (put) un actif sous-jacent à un prix fixé à l'avance (strike), pendant un temps donné ou à une date fixée. Ce contrat peut se faire dans une optique de spéculation sur le prix futur de l'actif sous-jacent, ou d'assurance contre une évolution défavorable de ce prix.
Richessethumb|350px|Le PIB nominal par habitant permet de mesurer la création de richesse annuelle moyenne par individu dans chaque pays. La richesse est la valeur de l'ensemble des biens détenus (patrimoine) par un agent économique (ménage, individu, nation, etc.) pouvant être soit produite par un revenu ou une plus-value, soit acquise par un legs ou une donation. Un individu, communauté ou pays qui possède une abondance de biens et d'actifs possédés est couramment défini comme « riche ».
Répartition des richessesLa répartition des richesses est la façon dont le patrimoine est détenu par les individus dans une société. Il s’agit d’un stock, et non pas d’un flux ; la répartition des revenus mesure, elle, un flux. C'est la troisième étape du circuit économique défini par Jean-Baptiste Say dans son Traité d'économie politique. Elle donne lieu à de vives controverses entre les différentes écoles de pensées économiques.
Cost–utility analysisCost–utility analysis (CUA) is a form of economic analysis used to guide procurement decisions. The most common and well-known application of this analysis is in pharmacoeconomics, especially health technology assessment (HTA). In health economics, the purpose of CUA is to estimate the ratio between the cost of a health-related intervention and the benefit it produces in terms of the number of years lived in full health by the beneficiaries. Hence it can be considered a special case of cost-effectiveness analysis, and the two terms are often used interchangeably.
Competitive equilibriumCompetitive equilibrium (also called: Walrasian equilibrium) is a concept of economic equilibrium, introduced by Kenneth Arrow and Gérard Debreu in 1951, appropriate for the analysis of commodity markets with flexible prices and many traders, and serving as the benchmark of efficiency in economic analysis. It relies crucially on the assumption of a competitive environment where each trader decides upon a quantity that is so small compared to the total quantity traded in the market that their individual transactions have no influence on the prices.
Budget carbonevignette|Budget carbone et scénarios de réduction des émissions nécessaires pour atteindre l'objectif de deux degrés convenu dans l'Accord de Paris sans émissions négatives, en fonction du pic d'émission. Un budget carbone, un quota d’émissions ou des émissions acceptables représentent la limite supérieure des émissions de dioxyde de carbone total () qui permettraient de rester en dessous d'une température moyenne mondiale donnée. Un budget carbone peut également être associé à d'autres variables climatiques telles que le forçage radiatif.
Greenhouse gas emissions from agricultureThe amount of greenhouse gas emissions from agriculture is significant: The agriculture, forestry and land use sector contribute between 13% and 21% of global greenhouse gas emissions. Agriculture contributes towards climate change through direct greenhouse gas emissions and by the conversion of non-agricultural land such as forests into agricultural land. Emissions of nitrous oxide, methane make up over half of total greenhouse gas emission from agriculture. Animal husbandry is a major source of greenhouse gas emissions.