Protéine membranaireLes protéines membranaires constituent l'une des trois principales classes de protéines à côté des protéines fibreuses et des protéines globulaires. Suivant le type de cellule et d'organite cellulaire, une membrane peut contenir des centaines de protéines différentes. Chaque protéine membranaire possède une orientation définie par rapport au cytoplasme : c'est pourquoi les propriétés des faces de la membrane sont très différentes. On parle de l’asymétrie de la membrane.
Protéines intrinsèquement désordonnéesLes protéines intrinsèquement désordonnées ou intrinsèquement non structurées sont des protéines qui manquent de structure tridimensionnelle stable, ce qui leur confère une forte plasticité qui est à l'origine de leur importance dans les phénomènes biologiques. Une protéine peut être totalement désordonnée, mais le cas le plus courant est celui où seulement une partie de la molécule, plus ou moins longue, est désordonnée (exemple : ).
Evidence of common descentEvidence of common descent of living organisms has been discovered by scientists researching in a variety of disciplines over many decades, demonstrating that all life on Earth comes from a single ancestor. This forms an important part of the evidence on which evolutionary theory rests, demonstrates that evolution does occur, and illustrates the processes that created Earth's biodiversity. It supports the modern evolutionary synthesis—the current scientific theory that explains how and why life changes over time.
Hypothèse de la reine rougevignette|Comme dans cette hypothèse, pour faire du sur place en sens inverse d'un escalateur, il est nécessaire de ne jamais cesser d'avancer, sinon on recule. L’hypothèse de la reine rouge est une hypothèse de la biologie évolutive proposée en 1973 par Leigh Van Valen et peut se résumer ainsi : l'évolution permanente d'une espèce est nécessaire pour maintenir son aptitude face aux évolutions des espèces avec lesquelles elle coévolue.