Self-assembly of nanoparticlesNanoparticles are classified as having at least one of three dimensions be in the range of 1-100 nm. The small size of nanoparticles allows them to have unique characteristics which may not be possible on the macro-scale. Self-assembly is the spontaneous organization of smaller subunits to form larger, well-organized patterns. For nanoparticles, this spontaneous assembly is a consequence of interactions between the particles aimed at achieving a thermodynamic equilibrium and reducing the system’s free energy.
Théorie VSEPRLa théorie VSEPR (sigle de l'anglais Valence Shell Electron Pair Repulsion, en français RPECV : « répulsion des paires électroniques de la couche de valence ») est une méthode destinée à prédire la géométrie des molécules en s'appuyant sur la théorie de la répulsion des électrons de la couche de valence. Elle est aussi connue sous le nom de « théorie de Gillespie » (ou théorie de Nyholm-Gillespie). Ce sont les Britanniques Nevil Sidgwick et Herbert Powell de l'Université d'Oxford qui ont proposé en 1940 une corrélation entre la géométrie moléculaire et le nombre des électrons de valence.
HexolIn chemistry, hexol is a cation with formula {[Co(NH3)4(OH)2]3Co}6+ — a coordination complex consisting of four cobalt cations in oxidation state +3, twelve ammonia molecules NH3, and six hydroxy anions HO-, with a net charge of +6. The hydroxy groups act as bridges between the central cobalt atom and the other three, which carry the ammonia ligands. Salts of hexol, such as the sulfate {[Co(NH3)4(OH)2]3Co}(SO4)3(H2O)x, are of historical significance as the first synthetic non-carbon-containing chiral compounds.
Hiver nucléaireUn hiver nucléaire est un phénomène climatique hypothétique de baisse globale des températures de surface, prédit comme pouvant être le résultat d’une guerre nucléaire massive. Il serait analogue à l’hiver volcanique ou à l'hiver d'impact. Un hiver nucléaire serait un refroidissement global et durable du climat terrestre lié à l'absorption des rayonnements du Soleil par les aérosols injectés dans la stratosphère par un grand nombre d'explosions nucléaires.
Effects of nuclear explosionsThe effects of a nuclear explosion on its immediate vicinity are typically much more destructive and multifaceted than those caused by conventional explosives. In most cases, the energy released from a nuclear weapon detonated within the lower atmosphere can be approximately divided into four basic categories: the blast and shockwave: 50% of total energy thermal radiation: 35% of total energy ionizing radiation: 5% of total energy (more in a neutron bomb) residual radiation: 5–10% of total energy with the mass of the explosion.
Explosion atomiqueUne explosion atomique ou explosion nucléaire est le résultat de l'explosion d'une bombe atomique. La première explosion nucléaire provoquée par l'homme est Trinity, qui a lieu aux États-Unis le près d'Alamogordo (Nouveau-Mexique). Une explosion atomique ne distingue généralement pas l'explosion d'une bombe A (à fission) de celle d’une bombe H (à fusion).
Holocauste nucléaireLa notion d’holocauste nucléaire évoque la possibilité de l'éradication totale ou partielle de la civilisation humaine par une guerre nucléaire. Dans un tel scénario, la totalité ou une partie de la Terre serait détruite et rendue inhabitable par la forte radioactivité ou l'hiver nucléaire suivant la guerre. C'est un thème de science-fiction post-apocalyptique, et l'une des premières fictions ayant abordé ce thème fut Last and First Men d'Olaf Stapledon (1930). D'autres ouvrages, comme Un cantique pour Leibowitz de Walter M.