Papier couchéthumb|Tranche d'un papier couché.1 - papier2 - couche d'égalisation3 - couche de lissage Le papier ou carton couché est un papier ou carton dont la surface est recouverte d'une ou plusieurs couches généralement constituées de produits minéraux (pigments) en mélange avec des liants et des produits d'addition divers. Quelque 40 % des papiers impression-écriture et près de 50 % des cartons sont couchés. L'opération de couchage consiste à déposer sur une ou sur les deux faces d'une feuille de papier ou de carton — appelée support — un enduit à base de pigments fins.
Marketing researchMarketing research is the systematic gathering, recording, and analysis of qualitative and quantitative data about issues relating to marketing products and services. The goal is to identify and assess how changing elements of the marketing mix impacts customer behavior. This involves specifying the data required to address these issues, then designing the method for collecting information, managing and implementing the data collection process.
Survey data collectionWith the application of probability sampling in the 1930s, surveys became a standard tool for empirical research in social sciences, marketing, and official statistics. The methods involved in survey data collection are any of a number of ways in which data can be collected for a statistical survey. These are methods that are used to collect information from a sample of individuals in a systematic way. First there was the change from traditional paper-and-pencil interviewing (PAPI) to computer-assisted interviewing (CAI).
Cycle des nutrimentsvignette|Nutrient-cycle Le cycle des nutriments (ou recyclage écologique) est le processus par lequel les composés organiques et inorganiques sont réutilisés dans un nouveau but de production de la matière. A l'inverse, l'énergie est utilisée dans un but de consommation sans jamais revenir à son état de départ. On ne peut pas parler de cycle de l'énergie, contrairement au cycle des nutriments minéraux.
Évaluation formativeLes concepts d’évaluation formative et sommative ont été apportés par Michael Scriven en 1967, dans le contexte de l’évaluation de programmes éducatifs (curriculum evaluation). Pour Scriven, une évaluation formative devait permettre à un établissement scolaire d’estimer la capacité de ses programmes scolaires à atteindre leurs objectifs, de façon à guider les choix de l’école pour les améliorer progressivement, au contraire d’une évaluation sommative qui cherche à poser un jugement final sur les programmes : « marchent-ils » ou pas ? Et en conséquence, faut-il les maintenir, les étendre ou les abandonner ? Benjamin Bloom reprend dans les années suivantes cette distinction pour l’appliquer au processus d’apprentissage, notamment dans son ouvrage Handbook on formative and summative evaluation of student learning.