Primitive notionIn mathematics, logic, philosophy, and formal systems, a primitive notion is a concept that is not defined in terms of previously-defined concepts. It is often motivated informally, usually by an appeal to intuition and everyday experience. In an axiomatic theory, relations between primitive notions are restricted by axioms. Some authors refer to the latter as "defining" primitive notions by one or more axioms, but this can be misleading. Formal theories cannot dispense with primitive notions, under pain of infinite regress (per the regress problem).
Validité interneLa validité interne et la validité externe sont des concepts proposés par Donald Campbell dans les années 1950 pour estimer le degré de confiance que l'on peut avoir dans le résultat d'une expérience scientifique. Assurer une bonne validité interne, c'est concevoir, mettre en œuvre et exploiter une expérience de façon à « [limiter] autant que faire se peut les biais imputables aux instruments de collecte ou de traitement des données ».
Greek orthographyThe orthography of the Greek language ultimately has its roots in the adoption of the Greek alphabet in the 9th century BC. Some time prior to that, one early form of Greek, Mycenaean, was written in Linear B, although there was a lapse of several centuries (the Greek Dark Ages) between the time Mycenaean stopped being written and the time when the Greek alphabet came into use. Early Greek writing in the Greek alphabet was phonemic, different in each dialect.
Alphabet grecLalphabet grec est un alphabet bicaméral de vingt-quatre lettres, principalement utilisé pour écrire la langue grecque depuis la fin du ou le début du C'est le premier et le plus ancien alphabet, dans l'acception la plus réduite de ce mot, car il note chaque voyelle et consonne avec un graphème séparé. Le grec moderne utilise encore cet alphabet de nos jours. Par le passé, les lettres ont servi également pour la numération grecque, depuis le , mais les chiffres arabes tendent à les remplacer en Grèce.
Aristotelian ethicsAristotle first used the term ethics to name a field of study developed by his predecessors Socrates and Plato. In philosophy, ethics is the attempt to offer a rational response to the question of how humans should best live. Aristotle regarded ethics and politics as two related but separate fields of study, since ethics examines the good of the individual, while politics examines the good of the City-State, which he considered to be the best type of community.
Pointer machineIn theoretical computer science, a pointer machine is an atomistic abstract computational machine model akin to the random-access machine. A pointer algorithm could also be an algorithm restricted to the pointer machine model. Depending on the type, a pointer machine may be called a linking automaton, a KU-machine, an SMM, an atomistic LISP machine, a tree-pointer machine, etc. (cf Ben-Amram 1995). At least three major varieties exist in the literature—the Kolmogorov-Uspenskii model (KUM, KU-machine), the Knuth linking automaton, and the Schönhage Storage Modification Machine model (SMM).
École mégariqueL’École mégarique est une école de philosophie grecque fondée entre les , qui tire son nom du lieu d'origine de son fondateur, Euclide de Mégare (à ne pas confondre avec Euclide d'Alexandrie). Ses membres se réclament des enseignements de Socrate. Euclide fonde une école socratique à Mégare dans les années précédant ou suivant la mort de Socrate. À la suite de la disparition de son maître, Euclide retourne à Mégare ; craignant pour leur vie, plusieurs socratiques, dont Platon, s'y réfugient temporairement.
Romanisation du grecCe tableau fait la liste de plusieurs principes de transcription du grec vers l'alphabet latin. Pour le grec moderne, le système qui se rapproche le plus de la prononciation grecque est celui de « BGN/PCGN » de 1962, abandonné par ces institutions en 1996. Pour toute création d’un article ayant pour titre un nom grec non francisé, il est préférable de suivre ces principes. Le grec ancien était une langue polytonique. Au fil des siècles, la prononciation a évolué, rendant la plupart des diacritiques inutiles, sans que le sens d'un mot en soit changé.
Théorie aristotélicienne de la causalitéLa théorie aristotélicienne de la causalité est une classification par Aristote de quatre différents types causalités. Forgée au , cette vision de la causalité s'écarte grandement de ce qu'on nomme « cause » à l'époque contemporaine. Pour Aristote, la cause () n'est pas simplement ce qui précède l'effet, mais inclut d'autres facteurs comme la volonté d'agir : c'est une notion métaphysique composite. Aristote développe une pensée physique et métaphysique complexe. Il cherche à comprendre les causes et leurs effets.
Théorie des formesLa théorie des formes (aussi appelée théorie des idées ou théorie des formes intelligibles) est la théorie selon laquelle les concepts, notions, ou idées abstraites, existent réellement, sont immuables et universelles et forment les modèles (archétypes) des choses et formes que nous percevons avec nos organes sensoriels. Cette théorie repose sur une dualité entre l'ici-bas des réalités sensibles et le monde intelligible. Il s'agit de la doctrine métaphysique majeure de Platon. Le terme de platonisme renvoie à la théorie des formes.