Forme linéaireEn algèbre linéaire, une forme linéaire sur un espace vectoriel est une application linéaire sur son corps de base. En dimension finie, elle peut être représentée par une matrice ligne qui permet d’associer à son noyau une équation cartésienne. Dans le cadre du calcul tensoriel, une forme linéaire est aussi appelée covecteur, en lien avec l’action différente des matrices de changement de base.
Signal d'horlogevignette|Un signal d'horloge est typiquement un signal carré. vignette|Un signal d'horloge est produit par un générateur d'horloge, ici dans un ordinateur de bureau, constitué d'une puce (à droite) et d'un résonateur (à gauche). vignette|Connecteur PS/2 : le signal d'horloge se trouve sur les broches 5 et 6, respectivement pour la souris et le clavier. Un signal d’horloge est, en électronique, et particulièrement en électronique numérique, un signal électrique oscillant qui rythme les actions d'un circuit.
SusceptanceIn electrical engineering, susceptance (B) is the imaginary part of admittance (Y = G + jB), where the real part is conductance (G). The reciprocal of admittance is impedance (Z = R + jX), where the imaginary part is reactance (X) and the real part is resistance (R). In SI units, susceptance is measured in siemens (S). The term was coined by C.P. Steinmetz in a 1894 paper. In some sources Oliver Heaviside is given credit for coining the term, or with introducing the concept under the name permittance.
AdmittanceLadmittance, notée Y, est l'inverse de l'impédance. Elle se mesure en siemens (S). Elle est définie par : Avec : Y l'admittance en S ; Z l'impédance en Ω. L'impédance étant une résistance complexe, et la conductance G étant l'inverse de la résistance, l'admittance est une conductance complexe. La partie réelle de l'admittance est la conductance, sa partie imaginaire est la susceptance : Le module de l'admittance est donné par (comme tous les nombres complexes) : Avec : G la conductance en S ; B la susceptance en S.