Déni du réchauffement climatiquevignette| Dérision du déni du réchauffement climatique. Le « déni du réchauffement climatique » est une attitude de dénégation face au consensus scientifique sur le réchauffement climatique. Certaines personnes admettent qu'il y a un réel changement, allant dans le sens d'un réchauffement global, mais nient que ce changement a une origine ou une part anthropique ; ils l'attribuent exclusivement aux variations naturelles du climat.
Optimum climatique médiévalvignette|Reconstructions des températures de l'hémisphère nord depuis 2000 ans. vignette|Reconstruction paléoclimatique utilisant de multiples « enregistrements climatiques », d'après des données recueillies par le GIEC dans son rapport de 2006. L'optimum climatique médiéval, parfois appelé réchauffement climatique de l'an mille ou embellie de l'an mille, est une période de climat inhabituellement chaud localisé sur les régions de l’Atlantique nord et ayant duré du s approximativement.
Inlandsisvignette|Schéma représentant les principaux types de glace présents aux pôles : de l'inlandsis (en) à l'iceberg. vignette|Vue aérienne de la bordure orientale de l'inlandsis du Groenland produisant des courants glaciaires se déversant dans des fjords. vignette|Nunataks dépassant de l'inlandsis du Groenland sur la côte orientale de l'île. Un inlandsis ( ou ) est un glacier de très grande étendue se présentant sous la forme d'une nappe de glace recouvrant la terre ferme et qui peut atteindre plusieurs milliers de mètres d'épaisseur.
Hémisphère nordL'hémisphère nord, boréal ou septentrional, est la moitié qui s'étend entre l'équateur et le pôle Nord d'une planète. En astronomie, ce terme désigne la partie du ciel située au nord de l'équateur céleste (déclinaisons positives). L'hémisphère nord terrestre, en géopolitique ou en économie, représente également l'ensemble des pays industrialisés (Europe, Asie, Amérique du Nord), par opposition à l'hémisphère sud et ses pays en voie de développement (principalement l'Afrique).
Dernier maximum glaciairevignette|redresse=1.7|Les calottes glaciaires continentales sont en gris. Les températures de surface des océans les plus basses sont en bleu, aux hautes latitudes ; en jaune, celles des océans tropicaux, inférieures de 2°C à 3°C par rapport à l'époque actuelle Le dernier maximum glaciaire (DMG) est la période au cours de laquelle le froid a atteint son ampleur maximale, à la fin de la dernière période glaciaire. Il est marqué par une extension extrême des calottes de glace et par un niveau des mers minimal.
AntarctiqueL'Antarctique (prononcé , ou aussi ), parfois appelé « le Continent Austral » ou « le Continent Blanc », est le continent le plus méridional de la Terre. Situé autour du pôle Sud, il est entouré des mers de Ross et de Weddell et, suivant les classifications, des océans Atlantique, Indien et Pacifique ou du seul océan Austral. Il forme le cœur de la région antarctique qui inclut également les parties émergées du plateau des Kerguelen ainsi que d'autres territoires insulaires de la plaque antarctique plus ou moins proches.
Modèle de circulation généraledroite|vignette|Modèle de circulation générale GEOS-5 (Goddard Earth Observing System Model) développé par la NASA. Un modèle de circulation générale (en anglais, general circulation model ou GCM) est un modèle climatique. Il s'appuie sur les équations de Navier-Stokes, appliquées à une sphère en rotation ainsi que sur des équations d'équilibre de la thermodynamique pour inclure les sources d'énergie (rayonnement, changement de phase). Ceci permet de simuler à la fois la circulation atmosphérique mais aussi la circulation océanique.
Régions polairesthumb|300px|Localisation en vert des régions dites polaires Les régions polaires de la Terre sont les zones du globe entourant les pôles et au-delà des deux cercles polaires que sont le cercle Arctique dans l'hémisphère nord et le cercle Antarctique dans l'hémisphère sud. Ces régions étant centrées sur le pôle Nord et le pôle Sud, elles sont recouvertes par les calottes glaciaires, situées respectivement sur l'océan Arctique et le continent Antarctique.
Chimie atmosphériqueLa chimie atmosphérique est une branche des sciences de l'atmosphère étudiant la chimie de l'atmosphère terrestre et des autres planètes. Il s'agit d'un champ de recherche pluridisciplinaire impliquant entre autres la chimie environnementale, la physique, la météorologie, la modélisation informatique, l'océanographie, la géologie et la volcanologie. Son champ de recherche est à l'heure actuelle de plus en plus rapproché à celui de la climatologie.
Sensibilité climatiquevignette|redresse=1.5|Diagramme des facteurs qui déterminent la sensibilité du climat. L'augmentation des niveaux de entraîne un réchauffement initial. Ce réchauffement est amplifié par l'effet net des rétroactions. Parmi les rétroactions qui se renforcent d'elles-mêmes, on peut citer la fonte des glaces qui réfléchissent la lumière du soleil et l'augmentation de l'évaporation, qui accroît la quantité moyenne de vapeur d'eau dans l'atmosphère, laquelle est un gaz à effet de serre.