Inlandsis | EPFL Graph Search

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vignette|Schéma représentant les principaux types de glace présents aux pôles : de l'inlandsis (en) à l'iceberg. vignette|Vue aérienne de la bordure orientale de l'inlandsis du Groenland produisant des courants glaciaires se déversant dans des fjords. vignette|Nunataks dépassant de l'inlandsis du Groenland sur la côte orientale de l'île. Un inlandsis ( ou ) est un glacier de très grande étendue se présentant sous la forme d'une nappe de glace recouvrant la terre ferme et qui peut atteindre plusieurs milliers de mètres d'épaisseur. Il peut se prolonger à la surface de la mer en formant des barrières de glace. Sur Terre, il n'en existe que deux de nos jours : l'inlandsis de l'Antarctique, le plus étendu, et l'inlandsis du Groenland. Le terme inlandsis est d'origine scandinave. La forme inlandsis est suédoise et signifie littéralement « glace [is] de l'intérieur des terres [inland] » ou « glace de l'arrière-pays ». On considère qu'un inlandsis est un glacier dont la superficie dépasse . Les inlandsis actuels terrestres sont donc au nombre de deux : l'inlandsis du Groenland d'où vient le nom ; l'inlandsis de l'Antarctique (parfois divisé en deux avec d'un côté l'Antarctique occidental et de l'autre l'Antarctique oriental). Le Vatnajökull en Islande, l'un des plus grands glaciers du monde, n'est pas considéré comme un inlandsis car avec de superficie, il n'atteint pas les requis. Ces glaciers de très grande dimension et ayant certaines des caractéristiques des inlandsis sont appelées calottes glaciaires. La formation des inlandsis repose sur le même principe que celle des glaciers : une accumulation de neige résultant d'une fonte insuffisante provoque un tassement de la neige qui expulse l'air qu'elle renferme et se transforme en glace. Cette glace est suffisamment plastique pour se déformer selon la gravité ou son propre poids. Dans le cas des inlandsis, c'est le propre poids de la glace qui provoque son déplacement par fluage, la pente à l'échelle d'un continent ou d'une grande île étant trop faible pour provoquer un écoulement gravitaire.

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Modeling the breaking-off of icebergs from tidewater glaciers

Qimin Wang

Ice calving is the breakaway process of icebergs which plays an important role in the dy- namics and the mass balance of ice sheets. Our project is to use Akantu (An open source object-oriented Finite Element library by LSMS) to reproduce the fracturing stages of the Bowdoin glacier in Greenland. Studies were first made on the mechanisms of ice calving and the provided data, to extract the key factors for our simulation. The HPC (high performance computing) simulation model was built by Python scripts, including preprocessing mesh file, applying arbitrary loading profiles, defining boundary conditions and initial conditions, pass- ing message through the simulation process, etc. The simulation scheme has been modified to better analysis the impact of water pressure and velocity field. Simulation acceleration was also implemented by amplifying the velocity field, so that the damage initiation and propagation could be explored faster. Some preliminary results about the relationship of system energy and damage propagation was analyzed. In the end, we proposed some study direction for the future researchers on the similar subject.

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Atmospheric and oceanic climate forcing of the exceptional Greenland ice sheet surface melt in summer 2012

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The NASA announcement of record surface melting of the Greenland ice sheet in July 2012 led us to examine the atmospheric and oceanic climatic anomalies that are likely to have contributed to these exceptional conditions and also to ask the question of how unusual these anomalies were compared to available records. Our analysis allows us to assess the relative contributions of these two key influences to both the extreme melt event and ongoing climate change. In 2012, as in recent warm summers since 2007, a blocking high pressure feature, associated with negative NAO conditions, was present in the mid-troposphere over Greenland for much of the summer. This circulation pattern advected relatively warm southerly winds over the western flank of the ice sheet, forming a heat dome' over Greenland that led to the widespread surface melting. Both sea-surface temperature and sea-ice cover anomalies seem to have played a minimal role in this record melt, relative to atmospheric circulation. Two representative coastal climatological station averages and several individual stations in south, west and north-west Greenland set new surface air temperature records for May, June, July and the whole (JJA) summer. The unusually warm summer 2012 conditions extended to the top of the ice sheet at Summit, where our reanalysed (1994-2012) DMI Summit weather station summer (JJA) temperature series set new record high mean and extreme temperatures in 2012; 3-hourly instantaneous 2-m temperatures reached an exceptional value of 2.2 degrees C at Summit on 11 July 2012. These conditions translated into the record observed ice-sheet wide melt during summer 2012. However, 2012 seems not to be climatically representative of future average' summers projected this century.

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