Modèle de l'électron libreEn physique du solide, le modèle de l'électron libre est un modèle qui sert à étudier le comportement des électrons de valence dans la structure cristalline d'un solide métallique. Ce modèle, principalement développé par Arnold Sommerfeld, associe le modèle de Drude aux statistiques de Fermi-Dirac (mécanique quantique). Électron Particule dans réseau à une dimension 2.4 Modèle de sommerfeld ou de l'électron libre dans un puits de potentiel, sur le site garmanage.com Catégorie:Physique du solide Catégorie:É
Trou d'électronEn physique du solide, un trou d'électron (habituellement appelé tout simplement trou) est l'absence d'un électron dans la bande de valence, qui serait normalement remplie sans le trou. Une bande de valence remplie (ou presque remplie) est une caractéristique des isolants et des semi-conducteurs. Le concept de trou est essentiellement une façon simple d'analyser le mouvement d'un grand nombre d'électrons en traitant cette absence d'électron comme une quasi-particule. Les trous sont dus à l'interaction des électrons avec le réseau cristallin.
Europe (lune)Europe, ou Jupiter , est un satellite naturel de Jupiter. Plus spécifiquement, il s'agit de la plus petite lune galiléenne et la sixième lune la plus proche de la planète parmi les de Jupiter, possédant un demi-grand axe de et une période de révolution d'environ . Par ailleurs, elle est la sixième plus grande lune du Système solaire avec un diamètre de . Légèrement plus petite que la Lune, Europe est principalement constituée de roches silicatées et d'une croûte de glace d'eau, ainsi que probablement d'un noyau de fer et de nickel.
Io (lune)Io, ou Jupiter , est un satellite naturel de Jupiter. Plus spécifiquement, il s'agit de la troisième plus grande lune galiléenne et celle ayant l'orbite la plus proche de la planète Jupiter, possédant un demi-grand axe de et une période de révolution d'environ . Par ailleurs, elle est la quatrième plus grande lune du Système solaire, la plus dense d'entre elles et l'objet astronomique connu contenant la plus faible quantité d'eau. Avec plus de actifs, Io est l'objet le plus géologiquement actif du Système solaire.
Ganymède (lune)Ganymède, de nom international , est un satellite naturel de Jupiter. Sur l'échelle des distances au centre de Jupiter, il s'agit du septième satellite naturel connu de la planète et du troisième satellite galiléen. Terminant une orbite en approximativement sept jours terrestres, il participe à une résonance orbitale dite de Laplace, de type 1:2:4, avec Europe et Io. D'un diamètre de , dépassant de 8 % celui de la planète Mercure et de 2 % celui de Titan, la plus grande lune de Saturne, Ganymède est le plus gros satellite naturel de Jupiter et le plus gros de tout le Système solaire.
Satellites galiléensvignette|Les quatre lunes galiléennes de Jupiter dans un montage permettant de comparer leur taille à celle de la planète. De haut en bas : Io, Europe, Ganymède et Callisto.|alt=À gauche, on observe une partie de Jupiter et de sa Grande Tache rouge. Les lunes sont juxtaposées à sa droite. Les satellites galiléens, ou lunes galiléennes, sont les quatre plus grands satellites naturels de Jupiter. Par ordre d'éloignement à la planète, il s'agit de Io, Europe, Ganymède et Callisto.
Planète erranteUne planète errante ou objet libre de masse planétaire (free-floating planetary-mass objects ; voir la liste des autres noms possibles) est un objet possédant la masse d'une planète mais qui n'est attaché gravitationnellement à aucune étoile ou naine brune : il erre dans l'espace comme un objet indépendant. Des astronomes estiment qu'il pourrait y avoir deux fois plus de planètes flottantes de la taille de Jupiter que d'étoiles dans l'Univers.
Principe de complémentaritéEn physique, le principe de complémentarité formulé par Niels Bohr en 1927 est un énoncé relevant de l'interprétation de la mécanique quantique qui vise à expliquer la dualité onde-corpuscule et le principe d'indétermination de Werner Heisenberg. Il consiste à dire que les comportements corpusculaires et ondulatoires qui cohabitent dans les phénomènes quantiques, ainsi que les paires de propriétés incompatibles de par le principe d'indétermination sont en fait des aspects complémentaires d'une même réalité.