Graphe de comparabilitéDans la théorie des graphes, un graphe de comparabilité est un graphe non orienté qui relie les paires d'éléments qui sont comparables les uns aux autres dans un ordre partiel donné. On les trouve aussi sous le nom de transitively orientable graphs, partially orderable graphs, et containment graphs. Les graphes de comparabilité sont des graphes parfaits. Les cographes sont des graphes de comparabilité Les graphes qui sont de comparabilité et dont le complémentaire est aussi de comparabilité sont exactement les graphes de permutations.
Approximation diophantiennevignette|Meilleurs approximations rationnelles pour les nombres irrationnels Π (vert), e (bleu), φ (rose), √3/2 (gris), 1/√2 (rouge) et 1/√3 (orange) tracées sous forme de pentes y/x avec des erreurs par rapport à leurs vraies valeurs (noirs) par CMG Lee. En théorie des nombres, l'approximation diophantienne, qui porte le nom de Diophante d'Alexandrie, traite de l'approximation des nombres réels par des nombres rationnels.
Utility functions on indivisible goodsSome branches of economics and game theory deal with indivisible goods, discrete items that can be traded only as a whole. For example, in combinatorial auctions there is a finite set of items, and every agent can buy a subset of the items, but an item cannot be divided among two or more agents. It is usually assumed that every agent assigns subjective utility to every subset of the items. This can be represented in one of two ways: An ordinal utility preference relation, usually marked by .
Maximum satisfiability problemIn computational complexity theory, the maximum satisfiability problem (MAX-SAT) is the problem of determining the maximum number of clauses, of a given Boolean formula in conjunctive normal form, that can be made true by an assignment of truth values to the variables of the formula. It is a generalization of the Boolean satisfiability problem, which asks whether there exists a truth assignment that makes all clauses true. The conjunctive normal form formula is not satisfiable: no matter which truth values are assigned to its two variables, at least one of its four clauses will be false.
Bonheurvignette|La société de consommation et la publicité qui en est le vecteur ont probablement conduit progressivement à une confusion entre les notions de plaisir et de bonheur, une idée véhiculée étant que le bonheur consisterait à assouvir l'ensemble des plaisirs proposés par l'économie de marché.Vue d'un fast food à Djakarta. vignette|Le judaisme associe le bonheur à l'idée de paradis perdu, depuis qu'Adam et Ève en ont été chassés pour avoir désobéi à Dieu.Le Paradis, peinture de Jérôme Bosch (vers 1500).
Économie du bonheurL’économie du bonheur est une branche émergente de l'économie. Elle se distingue de l'économie du bien-être en ce qu'elle ne fonde pas ses analyses sur des considérations objectives et générales (la santé, l'éducation, l'environnement, etc) mais sur ce que l'on appelle communément le bonheur ; plus précisément sur des témoignages d'ordre subjectif, recueillis lors d'enquêtes associant psychologie et sociologie, au cours desquelles chacun indique comment s'établissent par exemple ses liens avec sa famille, ses relations au travail, son rapport à l'argent, l'importance que l'on donne à ce qui est utile, nécessaire, et ce qui ne l'est pas.
Approximant de PadéEn mathématiques, et plus précisément en analyse complexe, l'approximant de Padé est une méthode d'approximation d'une fonction analytique par une fonction rationnelle. En ce sens, elle est un peu analogue à un développement limité qui approche la fonction selon les mêmes critères à l'aide d'un polynôme. De même que les développements limités forment une suite appelée série entière, convergeant vers la fonction initiale, les approximants de Padé apparaissent comme les réduites de diverses fractions continues (généralisées) dont la limite est aussi la fonction initiale.
GreedoidIn combinatorics, a greedoid is a type of set system. It arises from the notion of the matroid, which was originally introduced by Whitney in 1935 to study planar graphs and was later used by Edmonds to characterize a class of optimization problems that can be solved by greedy algorithms. Around 1980, Korte and Lovász introduced the greedoid to further generalize this characterization of greedy algorithms; hence the name greedoid. Besides mathematical optimization, greedoids have also been connected to graph theory, language theory, order theory, and other areas of mathematics.