Mécanique quantiqueLa mécanique quantique est la branche de la physique théorique qui a succédé à la théorie des quanta et à la mécanique ondulatoire pour étudier et décrire les phénomènes fondamentaux à l'œuvre dans les systèmes physiques, plus particulièrement à l'échelle atomique et subatomique. Elle fut développée dans les années 1920 par une dizaine de physiciens européens, pour résoudre des problèmes que la physique classique échouait à expliquer, comme le rayonnement du corps noir, l'effet photo-électrique, ou l'existence des raies spectrales.
Problème de la mesure quantiqueLe problème de la mesure quantique consiste en un ensemble de problèmes, qui mettent en évidence des difficultés de corrélation entre les postulats de la mécanique quantique et le monde macroscopique tel qu'il nous apparaît ou tel qu'il est mesuré.
Key-agreement protocolIn cryptography, a key-agreement protocol is a protocol whereby two or more parties can agree on a cryptographic key in such a way that both influence the outcome. If properly done, this precludes undesired third parties from forcing a key choice on the agreeing parties. Protocols that are useful in practice also do not reveal to any eavesdropping party what key has been agreed upon. Many key exchange systems have one party generate the key, and simply send that key to the other party—the other party has no influence on the key.
Format-preserving encryptionIn cryptography, format-preserving encryption (FPE), refers to encrypting in such a way that the output (the ciphertext) is in the same format as the input (the plaintext). The meaning of "format" varies. Typically only finite sets of characters are used; numeric, alphabetic or alphanumeric. For example: Encrypting a 16-digit credit card number so that the ciphertext is another 16-digit number. Encrypting an English word so that the ciphertext is another English word.
Data Encryption StandardLe Data Encryption Standard (DES, prononcer //) est un algorithme de chiffrement symétrique (chiffrement par bloc) utilisant des clés de 56 bits. Son emploi n'est plus recommandé aujourd'hui, du fait de sa lenteur à l'exécution et de son espace de clés trop petit permettant une attaque systématique en un temps raisonnable. Quand il est encore utilisé c'est généralement en Triple DES, ce qui ne fait rien pour améliorer ses performances. DES a notamment été utilisé dans le système de mots de passe UNIX.
Empreinte de clé publiqueEn cryptographie, une empreinte de clé publique (ou empreinte cryptographique de clé publique ; en anglais, public key fingerprint) est une courte séquence d'octets utilisée pour identifier une clé publique plus longue. Les empreintes de clé publique sont créées en appliquant une fonction de hachage cryptographique à une clé publique. Comme les empreintes de clé publique sont plus courtes que les clés auxquelles elles se rapportent, elles peuvent être utilisées pour simplifier certaines tâches de gestion des clés.
Réseau de substitution-permutationvignette|Représentation d'un réseau de substitution-permutation en 3 rounds avec le texte en clair (noté PLAINTEXT), la clé de chiffrement (notée KEY) et le texte chiffré (noté CIPHERTEXT). En cryptographie, un réseau de permutation-substitution (SPN en anglais) est une architecture utilisée dans les chiffrements par bloc comme AES. Elle consiste en une série de transformations mathématiques sur le bloc en clair en entrée pour produire un bloc chiffré en sortie.
Longueur de cléEn cryptologie, la longueur de clé ( ou key length) est la taille mesurée en bits de la clé de chiffrement (ou de signature) utilisée par un algorithme de chiffrement. La longueur de la clé est différente de la sécurité cryptographique, qui est la mesure de l'attaque la plus rapide contre un algorithme, aussi mesurée en bits. La sécurité évaluée d'un cryptosystème ne peut pas dépasser sa longueur de clé (étant donné que tout algorithme peut être cassé par force brute), mais elle peut être plus petite.
Confusion et diffusionEn cryptologie, confusion et diffusion sont deux propriétés dans une méthode de chiffrement qui ont été identifiées par Claude Shannon dans son document Communication Theory of Secrecy Systems publié en 1949. D'après la définition originale de Shannon, la confusion correspond à une volonté de rendre la relation entre la clé de chiffrement et le texte chiffré la plus complexe possible. La diffusion est une propriété où la redondance statistique dans un texte en clair est dissipée dans les statistiques du texte chiffré.
Pretty Good PrivacyPretty Good Privacy (qu'on pourrait traduire en français par "assez bon niveau de confidentialité"), plus connu sous le sigle PGP, est un algorithme cryptographique hybride permettant entre autres de chiffrer et signer des données. Il a été développé et diffusé aux États-Unis par Philip Zimmermann en . PGP se propose de garantir la confidentialité et l'authentification pour la communication des données.