Dispersion (biologie)thumb|Certaines graines très légères se laissent emporter par le vent, parfois sur de grandes distances. Il s'agit souvent d'espèces pionnières. thumb|Beaucoup de graines ont une forme qui leur permet de s'accrocher aux poils ou plumes d’animaux et ainsi d'être transportées thumb|Représentation schématique d'une dispersion. Colonisation d'autres milieux (parcelles occupées ou inoccupées) à partir d'une parcelle parente.
Dispersal vectorA dispersal vector is an agent of biological dispersal that moves a dispersal unit, or organism, away from its birth population to another location or population in which the individual will reproduce. These dispersal units can range from pollen to seeds to fungi to entire organisms. There are two types of dispersal vector, those that are active and those that are passive. Active dispersal involves pollen, seeds and fungal spores that are capable of movement under their own energy.
Landscape connectivityIn landscape ecology, landscape connectivity is, broadly, "the degree to which the landscape facilitates or impedes movement among resource patches". Alternatively, connectivity may be a continuous property of the landscape and independent of patches and paths. Connectivity includes both structural connectivity (the physical arrangements of disturbance and/or patches) and functional connectivity (the movement of individuals across contours of disturbance and/or among patches).
Fragmentation (écologie)La notion de fragmentation ou de morcellement des écosystèmes / des habitats / écopaysagère(er) / écologique englobe tout phénomène artificiel de morcellement de l'espace, qui peut ou pourrait empêcher une ou plusieurs espèces de se déplacer comme elles le devraient et le pourraient en l'absence de facteur de fragmentation. Avec le concept d'hétérogénéité, celui de fragmentation est une des bases théoriques de l'écologie du paysage. La notion de fragmentation concerne uniquement le phénomène de morcellement, sans perte de surface.
Human genetic variationHuman genetic variation is the genetic differences in and among populations. There may be multiple variants of any given gene in the human population (alleles), a situation called polymorphism. No two humans are genetically identical. Even monozygotic twins (who develop from one zygote) have infrequent genetic differences due to mutations occurring during development and gene copy-number variation. Differences between individuals, even closely related individuals, are the key to techniques such as genetic fingerprinting.
Écologie du paysageL'écologie du paysage est une sous-discipline de l'écologie qui consiste en l'étude des processus écologiques à l'échelle des paysages. Le paysage est alors défini comme une portion de territoire hétérogène, composée d’ensembles d’écosystèmes en interaction et est considéré comme un niveau d’organisation des systèmes écologiques, supérieur à l’écosystème. Plus largement, l'écologie du paysage s'intéresse à la dynamique spatiale et temporelle des composantes biologiques, physiques et sociales des paysages anthropisés et naturels.
Dissémination des grainesvignette| 540px|Dispersion de ses graines par l'épilobe à grandes fleurs (Epilobium hirsutum). Les plantes se propagent dans leur environnement le plus souvent grâce à la dissémination de leurs graines, appelée aussi dispersion des graines ou chorie. Les plantes n'étant pas des êtres vivants mobiles, plusieurs stratégies existent dans la nature pour amener de nouvelles plantes à croître loin de la plante mère.
Architecture du paysageL’architecture du paysage ou paysage — et non « paysagisme », terme qui constitue un abus de langage — consiste en l’art de la compréhension et du design de paysages dans leur immense diversité. L'architecture du paysage inclut notamment la conception d'espaces paysagers tels que l'aménagement de l'espace public, de parcs et d'espaces de récréation et le design urbain. Elle inclut également des interventions en faveur de la restauration environnementale, la planification de territoires aux différentes échelles et la préservation de paysages historiques et identitaires.
MétapopulationEn écologie, le concept de métapopulation désigne un ensemble de populations d'individus d'une même espèce séparées spatialement ou temporellement, mais interconnectées par la dispersion. Ces populations occupent des parcelles d'habitat de qualité variable et, à tout moment, certaines parcelles peuvent être disponibles et inoccupées. La zone intermédiaire, appelée la matrice de l'habitat, est vue comme inutilisable, mais peut être traversée. Ce concept est apparu pour la première fois dans la littérature écologique en 1969.
Démécologiethumb|350px|Groupes familiaux d'éléphants, au sein d'une population régionale thumb|350px|Un groupe de « populations » constitue une métapopulation. Les populations d'animaux, plantes, champignons, microbes... contribuent au fonctionnement des écosystèmes, qui eux-mêmes forment des biomes et la biosphère ou symbiosphère (expression de Joël de Rosnay est le niveau planétaire d'intégration de toutes les échelles du Vivant (du gène à la somme des biomes (sans laquelle l'oxygène et donc la couche d'ozone n'existeraient pas) ; Le gène est représenté à part, car non vivant en tant que tel, mais support d'information et base du vivant.