Facteur de charge (électricité)Le ou d'une centrale électrique est le rapport entre l'énergie électrique effectivement produite sur une période donnée et l'énergie qu'elle aurait produite si elle avait fonctionné à sa puissance nominale durant la même période. Le facteur de charge est souvent calculé sur une ou plusieurs années, mais il peut être calculé sur des périodes différentes. Il est généralement exprimé en pourcentage.
Coût d'opportunitéLe coût d'opportunité (de l'anglais opportunity cost), également appelé coût d'option, coût alternatif, coût de substitution, coût de renonciation ou encore coût de renoncement désigne la perte des biens auxquels on renonce lorsqu'on procède à un choix, autrement dit lorsqu'on affecte les ressources disponibles à un usage donné au détriment d'autres choix. C'est le coût d'une chose estimé en termes d'opportunités non réalisées, ou encore la valeur de la meilleure autre option non réalisée.
Coût de revientLe coût de revient, souvent appelé prix de revient ou parfois prix naturel, représente la somme des coûts supportés pour la production et la distribution d'un bien ou d'un service. Le coût de revient est la somme : du coût d'achat ; du coût d'approvisionnement ; du coût de la production ; du coût de la distribution ; du coût administratif. L'une des difficultés du calcul consiste à bien répartir, pour chaque activité, la quote-part des charges communes de l'entreprise. Cette quote-part est parfois appelée clef de répartition.
Liquéfaction du charbonLa liquéfaction du charbon désigne les procédés physico-chimiques qui permettent d'obtenir des hydrocarbures liquides à partir de charbon. Ces procédés, connus depuis le début du , connaissent au début du un regain d'intérêt en raison de la différence de prix croissante entre le charbon et le pétrole. On utilise alors plus fréquemment l'abréviation CTL, soit en anglais Coal to Liquids. Le mélange d'hydrocarbures obtenus peut être aisément raffiné pour fournir des carburants.
Torréfaction de la biomasseLe principe de la torréfaction pour libérer les arômes de certains aliments (réactions de Maillard) est connu depuis plus de 5 siècles. En revanche, lorsque l’on parle de torréfaction de biomasse (énergie), le concept est beaucoup plus récent et la finalité du traitement n’est pas la même. En effet, l’objectif recherché est non pas la libération d’arômes mais la dégradation des fibres contenues dans la biomasse.