Lutte contre les ravageursthumb|upright|Épandage aérien d'insecticide contre la chrysomèle des racines du maïs. La lutte contre les ravageurs comprend l'ensemble des moyens et méthodes employés pour lutter contre les organismes considérés comme nuisibles à l'économie, et plus particulièrement à la production agricole, à la santé des personnes et des animaux domestiques, ou à l'environnement. La lutte contre les ravageurs, ou nuisibles, est au moins aussi ancienne que l'agriculture. En effet, il a toujours été nécessaire de maintenir les cultures exemptes de parasites.
Colonisation bactérienne chronique de l'intestin grêleLa colonisation bactérienne chronique de l'intestin grêle (CBCG), aussi appelé SIBO (pour Small Intestinal Bacterial Overgrowth), consiste en une prolifération excessive et pathologique de bactéries au niveau de l'intestin grêle. Normalement, c'est dans le côlon que se trouve la majorité du microbiote intestinal, soit de bactéries, selon les individus.
Désherbagethumb|290px|Désherbage manuel de lin cultivé, tache autrefois souvent réservée aux femmes et parfois aux enfants, ici en Flandre ; huile sur toile par Émile Claus, 1887Le désherbage est la pratique qui consiste à limiter le développement des adventices, ou mauvaises herbes, pour réduire leur nuisibilité sur les plantes cultivées. L'expression « contrôle de l'enherbement » (anglais weed control au lieu de weeding) suppose une nouvelle approche du désherbage. En français, elle est plus facilement utilisée en arboriculture et viticulture.
Effet de matriceEn analyse chimique, l'effet de matrice décrit l'influence de l'environnement chimique d'un atome sur l'intensité de son signal. Les effets de matrice se rencontrent notamment en spectrométrie à plasma à couplage inductif (ICP), en spectrométrie de fluorescence des rayons X ou encore en microsonde de Castaing. Les méthodes modernes d'analyse chimique utilisent en général un phénomène physique où l'intensité du signal dépend de la quantité de certains atomes ou molécules.
Probiotiquevignette|Mécanismes proposés des actions des souches probiotiques au niveau de l'épithélium intestinal : compétition avec les pathogènes pour les nutriments nécessaires à leur multiplication (A), compétition pour l’adhésion aux sites récepteurs (B), stimulation immunitaire par leurs activités enzymatiques (C), action antagoniste directe par production de peptides antimicrobiens qui inhibent la croissance des pathogènes (D).