Mémoire de travailLe système cognitif fonctionne en acquérant, filtrant et traitant des informations vitales, utiles, potentiellement utiles à court, moyen et long termes ; il a donc besoin de stocker (mémoriser) ces informations. Le cerveau semble pour cela disposer de systèmes différents, mais complémentaires, de mémoire à long terme et de mémoire à court terme. La notion de mémoire de travail, apparue dans les années 1970 désigne .
Neurosciences computationnellesLes neurosciences computationnelles (NSC) sont un champ de recherche des neurosciences qui s'applique à découvrir les principes computationnels des fonctions cérébrales et de l'activité neuronale, c'est-à-dire des algorithmes génériques qui permettent de comprendre l'implémentation dans notre système nerveux central du traitement de l'information associé à nos fonctions cognitives. Ce but a été défini en premier lieu par David Marr dans une série d'articles fondateurs.
Amnésie infantileL'amnésie infantile décrit le phénomène amnésique touchant la mémoire épisodique qui conduit à la pauvreté des souvenirs relatifs aux premières années de vie et notamment à leur absence avant deux ans. L'amnésie infantile concerne spécifiquement les souvenirs "autobiographiques" de la mémoire épisodique, soit le souvenir chronologique des événements vécus avec leur contexte, et non les souvenirs de la mémoire sémantique comme les connaissances relatives au langage ou aux habiletés motrices.
Neural DarwinismNeural Darwinism is a biological, and more specifically Darwinian and selectionist, approach to understanding global brain function, originally proposed by American biologist, researcher and Nobel-Prize recipient Gerald Maurice Edelman (July 1, 1929 – May 17, 2014). Edelman's 1987 book Neural Darwinism introduced the public to the theory of neuronal group selection (TNGS) – which is the core theory underlying Edelman's explanation of global brain function.
Lateral prefrontal cortexIn human brain anatomy, the lateral prefrontal cortex (LPFC) is part of the prefrontal cortex (PFC). According to Striedter the PFC of humans can be delineated into two functionally, morphologically, and evolutionarily different regions: the ventromedial PFC (vmPFC) present in all mammals and the LPFC present only in primates. The LPFC contains the Brodmann areas BA8, BA9, BA10, BA45, BA46, and BA47. Some researchers also include BA44.
Intelligence des oiseauxL'intelligence des oiseaux est un domaine de l'éthologie concernant l'intelligence animale appliquée aux oiseaux. Il n'existe pas de définition universelle de l'intelligence. Elle peut être définie et mesurée par la vitesse et le succès pour résoudre des problèmes. La flexibilité mentale et comportementale est souvent considérée comme une bonne mesure de l'intelligence. Cette flexibilité permet l'apparition de nouvelles solutions. Les corvidés (geais bleus, les choucas, les pies bavardes les corneilles, les corbeaux, freux), sont réputés pour être les plus intelligents des oiseaux.
AviophobieL'aviophobie (construit à partir des mots avion et / phobos, « peur »), ou aérodromophobie, désigne une phobie des avions ou des voyages en avion. Cette phobie peut avoir plusieurs origines : une mauvaise expérience en vol, un refus total de tout contact avec un avion, une volonté de vouloir toujours tout contrôler, une peur de voir l'avion se crasher et y perdre la vie Il peut aussi être une conséquence directe d'autres phobies, comme la claustrophobie, l'agoraphobie, ou l'acrophobie.
ArachnophobieL'arachnophobie (du grec ἀράχνη, aráchnē, et de φόβος, phóbos, ) est une phobie spécifique désignant la peur des arachnides tels que les araignées, scorpions et les acariens. La peur doit être inexplicable pour le patient lui-même (ce n'est pas la crainte d'une morsure) et intense pour que le diagnostic de phobie soit posé. La réaction des arachnophobes est souvent disproportionnée. L'arachnophobie est l'une des phobies spécifiques les plus répandues au monde.
AcrophobieL’acrophobie (du grec : , signifiant , et , ) est une peur extrême et irrationnelle des hauteurs appartenant à un type de phobie spécifique. La plupart des individus font l'expérience d'une peur selon les hauteurs, spécialement s'il n'existe qu'une petite ou aucune protection. Les acrophobes souffrent de peur panique lorsqu'ils sont en hauteur, et veulent, d'une manière ou d'une autre, redescendre. Entre 2 et de la population générale souffrirait d'acrophobie, et les femmes sont deux fois plus exposées que les hommes.