Wallonia | EPFL Graph Search

Wallonia (wɒˈloʊniə; Wallonie walɔni), officially the Walloon Region (Région wallonne), is one of the three regions of Belgium—along with Flanders and Brussels. Covering the southern portion of the country, Wallonia is primarily French-speaking. It accounts for 55% of Belgium's territory, but only a third of its population. The Walloon Region and the French Community of Belgium, which is the political entity responsible for matters related mainly to culture and education, are independent concepts, because the French Community of Belgium encompasses both Wallonia and the bilingual Brussels-Capital Region. There is a German-speaking minority in eastern Wallonia, resulting from the annexation of three cantons previously part of the German Empire at the conclusion of World War I. This community represents less than 1% of the Belgian population. It forms the German-speaking Community of Belgium, which has its own government and parliament for culture-related issues. During the industrial revolution, Wallonia was second only to the United Kingdom in industrialization, capitalizing on its extensive deposits of coal and iron. This brought the region wealth, and from the beginning of the 19th to the middle of the 20th century, Wallonia was the more prosperous half of Belgium. Since World War II, the importance of heavy industry has greatly diminished, and the Flemish Region has exceeded Wallonia in wealth as Wallonia has declined economically. Wallonia now suffers from high unemployment and has a significantly lower GDP per capita than Flanders. The economic inequalities and linguistic divide between the two are major sources of political conflicts in Belgium and a major factor in Flemish separatism. The capital of Wallonia is Namur, and the most populous city is Charleroi. Most of Wallonia's major cities and two-thirds of its population lie along the east–west aligned Sambre and Meuse valley, the former industrial backbone of Belgium. To the north of this valley, Wallonia lies on the Central Belgian Plateau, which, like Flanders, is a relatively flat and agriculturally fertile area.

Dessiner la technique. Pensée et discours visuels (XVIe-XXe siècles)

Jérôme Baudry

Qu’est-ce que le « dessin technique » ? Longtemps réduite au dessin de machines, au dessin d’ingénieur et au dessin industriel, l’expression désigne ici tout dessin qui encode un savoir technique et se veut un guide pour l’action. Partant de domaines d’act ...

Presses des Mines2024

AxéCycle: développement de nouveaux aménagements autoconstruits pour une association de réparation de vélos

Antonin Zéphir Raoul Mack

Lors de l’énoncé théorique, notre étude des travaux de John Turner, Walter Segal et Patrick Bouchain a confirmé la pertinence de l’autoconstruction pour répondre à la diversité des besoins. À partir de cette compréhension, notre projet de collaboration avec l'association AxéCycle, située à Malley, vise à co-développer des aménagements adaptés aux besoins et aux ressources de l’association. Ce quartier lausannois est en pleine transition, passant d’une zone industrielle périphérique à une centralité du grand Lausanne en phase de densification. Des projets majeurs de construction portés par des acteurs importants de l’immobilier sont en construction. Actuellement, cette période de transition offre donc l’opportunité d'expérimenter des projets moins dépendants d’une planification centralisée. Inspirée des principes développés par W. Segal et P. Bouchain, notre approche pour ce projet met l’accent sur la co-création et la participation active des membres d’AxéCycle. À travers des ateliers et des échanges approfondis, nous avons précisément recueilli leurs besoins et avons développé des aménagements adaptés aux activités de l’association, notamment la réparation de vélos. Cette approche collaborative favorise l’appropriation des espaces par les utilisateurs et les utilisatrices, renforce le sentiment d’appartenance et optimise l’utilisation des ressources disponibles.

2023

Intervention sur la zone villa à Genève. Nouveaux dess(e)ins pour l’espace collectif

Tanguy Mulard

A Genève la tendance pour la « construction de la ville sur la ville » a cristallisé une forte pression sur les zones villas. La faible densité et l’individualisme liés au modèle pavillonnaire amènent à considérer ces portions de territoire comme inadéquates pour la ville du 21e siècle. Les politiques en cours proposent leur remplacement. L’agressivité et la complexité effective de cette stratégie n’en fait ni un projet unanimement approuvé ni un projet facile à réaliser. Le projet investigue l’avenir de ces espaces en adressant d’une autre manière la question reliée à ces zones. Il opère un parcours des potentiels sociaux et écologiques de ces territoires avant de les positionner sur le terrain de la densité. Lorsque l’on se rapproche, expérimente, dessine l’un ou l’autre de ces espaces, on se rend compte de la disparité des tissus et des populations qu’ils peuvent abriter. Le projet, partant de l’existant, intègre ces lieux dans les dynamiques de la ville avec la capacité de proposer une expérience sur nos manières de vivre ensemble. Le travail de deux cas d’étude suggère des visions possibles du monde en soulevant des questions liées à nos modes de vie, nos manières de construire et d’allier ces dernières avec l’espace naturel. Le projet propose de débuter le développement de ces territoires par leur réparation; un dessein singulier de ces espaces dans la métropole genevoise. Il suggère que ces espaces ont un rôle social comme écologique à jouer dans le développement de la métropole en direction de la transition.

2021