Liège | EPFL Graph Search

thumb|Panorama.|alt= Liège (prononcé , anciennement écrit Liége ; aussi prononcé Liége ou Lièche en liégeois ; Luik ; Lüttich ; en wallon : Lîdje ), aussi surnommée « La Cité ardente », est une ville francophone de l'est de la Belgique. Elle est le chef-lieu de la province de Liège. De 972 à 1795, elle fut la capitale de la principauté de Liège. Du , elle fut le siège du vaste évêché de Liège, héritier de la Civitas Tungrorum. En 2013, Liège compte quelque . Son agglomération est peuplée d'environ . Par le nombre d'habitants, c'est la première agglomération wallonne, la troisième agglomération de Belgique après Bruxelles et Anvers et la quatrième commune après Anvers, Gand et Charleroi. Étymologie de Liège L'étymologie du nom de Liège a suscité, depuis le Moyen Âge, une longue série d'hypothèses. Liége s'écrivait avec un accent aigu, ce avant l'arrêté du Régent du approuvant la délibération du Conseil communal de la Ville de Liége du . La périphrase la plus souvent utilisée pour désigner la ville de Liège est « Cité ardente ». Cette appellation vient du titre d'un roman chevaleresque écrit par Henry Carton de Wiart édité en 1904. Ce roman raconte le sac de la ville de Liège par les troupes de Charles le Téméraire en 1468, malgré la résistance liégeoise, aidée par un important contingent, les Six cents Franchimontois, venu d'une seigneurie voisine. L'appellation de « Cité ardente » n'est pas antérieure à la parution de ce roman. Elle a surtout été popularisée par le prince Albert, qui faisant référence au titre dudit roman dans son discours inaugural de l'Exposition universelle de Liège de 1905 va vraiment lancer l'expression près des journalistes liégeois. Cette expression est restée ancrée dans le langage populaire et la littérature. Outre « Cité ardente », Liège est souvent appelée « La Cité des Princes-évêques » en raison de l'ancienne principauté épiscopale de Liège et de l'esprit des Liégeois que l'on qualifie d'esprit principautaire.

AxéCycle: développement de nouveaux aménagements autoconstruits pour une association de réparation de vélos

Antonin Zéphir Raoul Mack

Lors de l’énoncé théorique, notre étude des travaux de John Turner, Walter Segal et Patrick Bouchain a confirmé la pertinence de l’autoconstruction pour répondre à la diversité des besoins. À partir de cette compréhension, notre projet de collaboration avec l'association AxéCycle, située à Malley, vise à co-développer des aménagements adaptés aux besoins et aux ressources de l’association. Ce quartier lausannois est en pleine transition, passant d’une zone industrielle périphérique à une centralité du grand Lausanne en phase de densification. Des projets majeurs de construction portés par des acteurs importants de l’immobilier sont en construction. Actuellement, cette période de transition offre donc l’opportunité d'expérimenter des projets moins dépendants d’une planification centralisée. Inspirée des principes développés par W. Segal et P. Bouchain, notre approche pour ce projet met l’accent sur la co-création et la participation active des membres d’AxéCycle. À travers des ateliers et des échanges approfondis, nous avons précisément recueilli leurs besoins et avons développé des aménagements adaptés aux activités de l’association, notamment la réparation de vélos. Cette approche collaborative favorise l’appropriation des espaces par les utilisateurs et les utilisatrices, renforce le sentiment d’appartenance et optimise l’utilisation des ressources disponibles.

2023

Etude d'un transformateur piézoélectrique fonctionnant en mode épaisseur

Le PT fonctionnant en mode épaisseur n'est pas disponible dans le commerce et n'a pas fait l'objet d'un prototype sur le marché. Le model étudié est ainsi un transformateur radial de Transoner (le Transoner T6) pouvant aussi fonctionner en mode épaisseur. Cependant sa géométrie et le matériau piézoélectrique ne sont pas adaptés à ce mode de vibration. Les performances ne seront certainement pas aussi élevées que celles attendues.

2007