Legion of Honour | EPFL Graph Search

The National Order of the Legion of Honour (Ordre national de la Légion d'honneur ɔʁdʁ nɑsjɔnal də la leʒjɔ̃ dɔnœʁ), formerly the Royal Order of the Legion of Honour (Ordre royal de la Légion d'honneur), is the highest French order of merit, both military and civil. Established in 1802 by Napoleon Bonaparte, it has been retained (with occasional slight alterations) by all later French governments and regimes. The order's motto is Honneur et Patrie ("Honour and Fatherland"); its seat is the Palais de la Légion d'Honneur next to the Musée d'Orsay, on the left bank of the Seine in Paris. The order is divided into five degrees of increasing distinction: Chevalier (Knight), Officier (Officer), Commandeur (Commander), Grand officier (Grand Officer) and Grand-croix (Grand Cross). During the French Revolution, all of the French orders of chivalry were abolished and replaced with Weapons of Honour. It was the wish of Napoleon Bonaparte, the First Consul, to create a reward to commend civilians and soldiers. From this wish was instituted a Légion d'honneur, a body of men that was not an order of chivalry, for Napoleon believed that France wanted a recognition of merit rather than a new system of nobility. However, the Légion d'honneur did use the organization of the old French orders of chivalry, for example, the Ordre de Saint-Louis. The insignia of the Légion d'honneur bear a resemblance to those of the Ordre de Saint-Louis, which also used a red ribbon. Napoleon originally created this award to ensure political loyalty. The organization would be used as a façade to give political favours, gifts, and concessions. The Légion d'honneur was loosely patterned after a Roman legion, with legionaries, officers, commanders, regional "cohorts" and a grand council. The highest rank was not a Grand Cross but a Grand aigle (Grand Eagle), a rank that wore the insignia common to a Grand Cross. The members were paid, the highest of them extremely generously: 5,000 francs to a grand officier, 2,000 francs to a commandeur, 1,000 francs to an officier, 250 francs to a légionnaire.

120 BPM - Un projet métaphorique contemporain

Candice Franzetti

« 120 BPM » se juxtapose à l’univers chaotique du Flon et absorbe son rythme effréné. Il capture le flux métropolitain assommé et aseptisé pour le plonger dans un monde pluriel. Comme une séquence de plateformes qui chorégraphient le mouvement et l’arrêt, la conception de scènes à la manière d’un théâtre s’étend au-delà du cadre traditionnel de la scénographie et fait du mouvement corporel le protagoniste absolu où chaque geste acquiert une solennité performative. La construction d’un nouveau sol transforme la circulation en un spectacle processionnel. Avec le battement du coeur comme unité de mesure, le projet construit le cadre du nouveau récit humain. Des scènes pour se regarder, se réunir, s’isoler, s’abandonner, s’embrasser, s’aimer, se différencier, se ressembler. Les logements sont la scène de la vie quotidienne, où chacun se montre ou se retire et devient également le spectateur de la vie urbaine, dans une tension créative constante entre le monde privé et le monde public. La toiture offre une autre plateforme à la ville, un espace de contemplation et d’action, insérée dans une nature luxuriante et bienfaisante. « 120 BPM » voit le chaos comme porteur de créativité et l’accueille en son coeur. Porté par l’utopie du beau pour tous, le projet valorise l’art dans une circuit infini de créativité, où le visiteur est lui même producteur d’art. La théorie du chaos, qui a su trouver de l’ordre caché sous le désordre apparent, a introduit la place du hasard; entre ordre et désordre, calme et excitation, le ciel et la terre. Les opposés cohabitent et s’augmentent par leurs présences antagonistes. Le projet s’exerce sur les territoires de l’imaginaire et crée de nouvelles fictions qui se mêlent à l’épaisseur du réel. Ce projet métaphorique contemporain pose le cadre d’un récit merveilleux et s’abandonne à l’imaginaire.

2021

120 BPM - Un projet métaphorique contemporain

Candice Franzetti

2021