École nationale de l'aviation civile

École nationale de l'aviation civile (ENAC) (National School of Civil Aviation) is one of 205 colleges (as of September 2018) accredited to award engineering degrees in France. ENAC is designated as a grande école by the Conférence des Grandes écoles (CGE), a non-profit organisation which certifies and monitors grandes écoles (including engineering colleges). ENAC was founded on 28 August 1949 to provide initial and continuing education in the field of civil aviation. The school is an établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (a public scientific, cultural or professional establishment), and operates under the oversight of the Ministry of Ecological Transition. Affiliated with the University of Toulouse and Aerospace Valley, it is one of the five founders of France AEROTECH. ENAC offers 30 engineering and technical programs in civil aviation and aeronautics. Programs include aerospace engineering, aircraft maintenance, commercial airline piloting, air traffic control, and flight instructor. The college also offers three Master of Science programs and 12 Advanced Master programs for students with relevant experience. In 1945, immediately after World War II, the French air-transport industry experienced rapid growth. To ensure safety and compliance with regulations, demand for qualified staff was high; there was a need to harmonise communications among sectors of the aviation industry. ENAC was founded to address this issue. Among its founders was Max Hymans, the secretary general of civil and commercial aviation. During the postwar years, there was a lack of unity in the civil-aviation industry due to the hasty recruitment of large numbers of people from different backgrounds. To standardize personnel, a number of training centers were created. Airfield commanders were trained in Orly, and navigation staff were trained in Le Bourget. Wireless operators and radiotelegraph technicians were also trained in Orly by the Department of Telecommunications and Signaling.

Cohabiter au Flon: d'une ancienne caserne à une colocation grande échelle

Elodie Abbet

[projet commun avec A. Hübner] : Les travaux de recherche : Cohabiter - La colocation et Distribution(s) : le potentiel des infrastructures distributives comme espace commun abordent tous deux des problématiques relatives au logement collectif : la vie en colocation, la mutualisation des surfaces habitables ainsi que les infrastructures distributives et leur potentiel à devenir des espaces partagés de qualité. Le projet naît des recherches énoncées et se développe en réutilisant une infrastructure urbaine dans une volonté de densifier la ville par l’existant. La caserne des pompiers de la Vigie (1950) prend alors une nouvelle forme, proposant une réponse au manque de typologies dédiées à la colocation. Implanté perpendiculairement aux axes piétons, l'édifice restreint le passage entre le Flon et l’Eracom. En proposant un marché couvert dans l’ancienne halle des camions, le bâtiment s’ouvre et permet une nouvelle porosité à la ville tout en se dotant d’un espace public emblématique. Les nouveaux logements organisés sur plusieurs niveaux sont construits autour du vivre ensemble, questionnant le rapport à l’individuel. Distributions et espaces communs deviennent les cœurs névralgiques de la vie en communauté, incitant les échanges et les rencontres fortuites. En parallèle, l’intimité des usager·ère·s est protégée au profit du bon fonctionnement de la collectivité. Les habitant·e·s sont acteur·trice·s de leurs lieux domestiques et peuvent donc choisir leur degré de sociabilité.

2023

Traumas, stigmates et opportunités ferroviaires. Reconnexion, réaffectation et revalorisation de la friche du Grand Pré à Lausanne

Pedro Maiurano

Devenue privée en 1999, l’entreprise CFF hérite gratuitement de l’entièreté du parcellaire destiné à l’exploitation ferroviaire jusqu’ici détenu par l’État. La division Immobilier est créée pour revaloriser ses propriétés devenues inutiles, souvent idéalement placées dans les alentours des gares. Pour satisfaire des besoins de rentabilité élevés dictés par la Confédération, elle entreprend une campagne agressive de placements immobiliers sur le marché privé. Entre-temps devenue deuxième acteur de l’immobilier suisse (en patrimoine et loyers perçus), l’entreprise continue à profiter de son image politisée et de son parcellaire initialement obtenu à des fins d’utilité publique, avec des projets spéculatifs souvent déconnectés de leur contexte en termes de densité, programme et loyer. Pour le scénario de ce projet, libérée de ses contraintes de rentabilité pour ses bons résultats financiers, l’ex-régie fédérale reprend son rôle initial d’entreprise œuvrant pour le bien collectif et public grâce à un virage politique et une collaboration intime avec la Ville de Lausanne. Bien que les programmes proposés, industrie légère et logement social, ne répondent plus à leurs attentes spéculatives, ils s’alignent néanmoins avec le contexte et les besoins de la ville. La biodiversité présente sur le site est considérée comme une richesse à préserver et une attention particulière est donnée pour résoudre les difficultés d’accès créées par les stigmates ferroviaires divisant le quartier.

2022

École nationale de l'aviation civile

Cohabiter au Flon: d'une ancienne caserne à une colocation grande échelle

Traumas, stigmates et opportunités ferroviaires. Reconnexion, réaffectation et revalorisation de la friche du Grand Pré à Lausanne

Opacité et transparence dans le design d'un dispositif de surveillance urbain : le cas de l'IMSI catcher

Traumas, stigmates et opportunités ferroviaires. Reconnexion, réaffectation et revalorisation de la friche du Grand Pré à Lausanne

Cohabiter au Flon: d'une ancienne caserne à une colocation grande échelle

Opacité et transparence dans le design d'un dispositif de surveillance urbain : le cas de l'IMSI catcher