Nombre irrationnelUn nombre irrationnel est un nombre réel qui n'est pas rationnel, c'est-à-dire qu'il ne peut pas s'écrire sous la forme d'une fraction a/b, où a et b sont deux entiers relatifs (avec b non nul). Les nombres irrationnels peuvent être caractérisés de manière équivalente comme étant les nombres réels dont le développement décimal n'est pas périodique ou dont le développement en fraction continue est infini. On distingue, parmi les nombres irrationnels, deux sous-ensembles complémentaires : les nombres algébriques non rationnels et les nombres transcendants.
Whittaker modelIn representation theory, a branch of mathematics, the Whittaker model is a realization of a representation of a reductive algebraic group such as GL2 over a finite or local or global field on a space of functions on the group. It is named after E. T. Whittaker even though he never worked in this area, because pointed out that for the group SL2(R) some of the functions involved in the representation are Whittaker functions. Irreducible representations without a Whittaker model are sometimes called "degenerate", and those with a Whittaker model are sometimes called "generic".
Constante de LebesgueEn mathématiques, la constante de Lebesgue liée à un ensemble de points donne une idée de la qualité de l'interpolant d'une fonction aux points donnés par rapport à la meilleure approximation polynomiale de cette fonction à degré fixé. Elle est nommée d'après Henri Lebesgue. Soient T = x0, ..., xn des points d'un intervalle [a, b] contenant ces nœuds. Définir une interpolation polynomiale revient à projeter la fonction f sur un polynôme p.
Catégorie des petites catégoriesEn mathématiques, plus précisément en théorie des catégories, la catégorie des petites catégories, notée Cat, est la catégorie dont les objets sont les petites catégories et dont les morphismes sont les foncteurs entre petites catégories. Cat peut en fait être considérée comme une 2-catégorie, les transformations naturelles servant de 2-morphismes. L'objet initial de Cat est la catégorie vide 0, qui est la catégorie sans objets et sans morphismes. L'objet final est la catégorie finale ou catégorie triviale 1 ayant un seul objet et un seul morphisme.
Sinuositévignette|droite|upright=0.65|Sinuosité pour deux demi-cercles inversés : longueur du trait bleu (soit la longueur du cercle) divisée par la longueur du trait tireté (soit le 2 fois le diamètre du cercle) La sinuosité, ou coefficient de sinuosité, ou indice de sinuosité, d’une courbe continûment dérivable comportant au moins un point d'inflexion est le rapport entre la longueur curviligne (selon le parcours) et la distance (ligne droite) entre les points extrêmes du tracé.
Théorème de Cohen-SeidenbergEn mathématiques, en théorie des anneaux, le théorème de Cohen-Seidenberg est un outil important permettant de manipuler des idéaux ou des chaînes d'idéaux dans les extensions d'anneaux. Il s'agit en fait de deux résultats, appelés théorèmes de montée et de descente (souvent en anglais : going-up et going-down), dus aux mathématiciens américains Irvin Cohen et qui les ont initialement établis en 1946 dans le cas commutatif, bien que leur application soit plus générale.
Direct sumThe direct sum is an operation between structures in abstract algebra, a branch of mathematics. It is defined differently, but analogously, for different kinds of structures. To see how the direct sum is used in abstract algebra, consider a more elementary kind of structure, the abelian group. The direct sum of two abelian groups and is another abelian group consisting of the ordered pairs where and . To add ordered pairs, we define the sum to be ; in other words addition is defined coordinate-wise.
Théorème de Krull–SchmidtEn mathématiques, le théorème de Krull-Schmidt énonce qu'un groupe soumis à certaines conditions de finitude sur des chaînes de sous-groupes, peut être écrit de manière unique comme un produit direct fini de sous-groupes indécomposables. On dit qu'un groupe G satisfait la condition de chaîne sur les sous-groupes si toute suite de sous-groupes de G : est ultimement constant, c'est-à-dire qu'il existe N tel que G N = G N +1 = G N +2 = . . . .
Algèbre associativevignette|Relations entre certaines structures algébriques. En mathématiques, une algèbre associative (sur un anneau commutatif A) est une des structures algébriques utilisées en algèbre générale. C'est un anneau (ou simplement un pseudo-anneau) B muni d'une structure supplémentaire de module sur A et tel que la loi de multiplication de l'anneau B soit A-bilinéaire. C'est donc un cas particulier d'algèbre sur un anneau. Soit A un anneau commutatif. On dit que (B , + , . , × ) est une A-algèbre associative lorsque : (B , + , .
Complete fieldIn mathematics, a complete field is a field equipped with a metric and complete with respect to that metric. Basic examples include the real numbers, the complex numbers, and complete valued fields (such as the p-adic numbers). The real numbers are the field with the standard euclidean metric . Since it is constructed from the completion of with respect to this metric, it is a complete field. Extending the reals by its algebraic closure gives the field (since its absolute Galois group is ).