Une grammaire formelle est un formalisme permettant de définir une syntaxe et donc un langage formel, c'est-à-dire un ensemble de mots admissibles sur un alphabet donné. La notion de grammaire formelle est particulièrement utilisée en programmation logique, compilation (analyse syntaxique), en théorie de la calculabilité et dans le traitement des langues naturelles (tout particulièrement en ce qui concerne leur morphologie et leur syntaxe).
L' consiste à mettre en évidence la structure d'un texte, généralement une phrase écrite dans une langue naturelle, mais on utilise également cette terminologie pour l'analyse d'un programme informatique. L' (parser, en anglais) est le programme informatique qui réalise cette tâche. Cette opération suppose une formalisation du texte, qui est vue le plus souvent comme un élément d'un langage formel, défini par un ensemble de règles de syntaxe formant une grammaire formelle.
In computing, an optimizing compiler is a compiler that tries to minimize or maximize some attributes of an executable computer program. Common requirements are to minimize a program's execution time, memory footprint, storage size, and power consumption (the last three being popular for portable computers). Compiler optimization is generally implemented using a sequence of optimizing transformations, algorithms which take a program and transform it to produce a semantically equivalent output program that uses fewer resources or executes faster.
In computer science, a parsing expression grammar (PEG) is a type of analytic formal grammar, i.e. it describes a formal language in terms of a set of rules for recognizing strings in the language. The formalism was introduced by Bryan Ford in 2004 and is closely related to the family of top-down parsing languages introduced in the early 1970s. Syntactically, PEGs also look similar to context-free grammars (CFGs), but they have a different interpretation: the choice operator selects the first match in PEG, while it is ambiguous in CFG.
Comme tout analyseur grammatical (ou analyseur syntaxique), un analyseur LR vise à vérifier si une chaîne de caractères (typiquement contenue dans un fichier) possède bien la structure d'une grammaire spécifiée à l'avance. Cette vérification s'accompagne généralement d'actions. Une action typique est la génération d'une autre chaîne de caractères ou encore d'un arbre d'analyse. Ainsi l'analyse grammaticale est généralement utilisée pour la compilation (transformation d'un code source en code machine).
En linguistique et en informatique théorique, une grammaire algébrique, ou grammaire non contextuelle, aussi appelée grammaire hors-contexte ou grammaire « context-free » est une grammaire formelle dans laquelle chaque règle de production est de la forme où est un symbole non terminal et est une chaîne composée de terminaux et/ou de non-terminaux. Le terme « non contextuel » provient du fait qu'un non terminal peut être remplacé par , sans tenir compte du contexte où il apparaît.
En théorie des langages, l'algorithme d'Earley est un algorithme d'analyse syntaxique pour les grammaires non contextuelles décrit pour la première fois par Jay Earley. À l'instar des algorithmes CYK et GLR, l'algorithme d'Earley calcule toutes les analyses possibles d'une phrase (et pas seulement une de ces analyses). Il repose sur de la programmation dynamique. On peut construire un analyseur Earley pour toute grammaire non contextuelle. Il s'exécute en temps cubique (O (n3), où n est la longueur de la chaîne d'entrée).
En informatique, un langage intermédiaire (parfois abrégé en IL, de l'anglais Intermediate Language) est le langage d'une machine abstraite conçu pour l'analyse d'un programme informatique. Le terme vient de son utilisation dans les compilateurs, où un compilateur transcrit d'abord le code source d'un programme en une forme plus adaptée pour les transformations d'amélioration de code, comme un état intermédiaire avant de générer du code objet ou du langage machine pour une machine cible, c’est-à-dire la machine sur laquelle sera exécutée le programme.
En programmation informatique, l'optimisation de code est la pratique consistant à améliorer l'efficacité du code informatique d'un programme ou d'une bibliothèque logicielle. Ces améliorations permettent généralement au programme résultant de s'exécuter plus rapidement, de prendre moins de place en mémoire, de limiter sa consommation de ressources (par exemple les fichiers), ou de consommer moins d'énergie électrique. La règle numéro un de l'optimisation est qu'elle ne doit intervenir qu'une fois que le programme fonctionne et répond aux spécifications fonctionnelles.
In compiler theory, dead-code elimination (DCE, dead-code removal, dead-code stripping, or dead-code strip) is a compiler optimization to remove dead code (code that does not affect the program results). Removing such code has several benefits: it shrinks program size, an important consideration in some contexts, and it allows the running program to avoid executing irrelevant operations, which reduces its running time. It can also enable further optimizations by simplifying program structure.