La chimie nucléaire est une sous-catégorie de la chimie traitant de la radioactivité, des radioéléments, des processus et des propriétés nucléaires. Elle peut être divisée en cinq sous-parties.
C’est la chimie des éléments radioactifs (éléments chimiques dont tous les isotopes sont radioactifs) tels que les actinides, le technétium, le radium ou le radon, cette chimie étant associée à des équipements spéciaux (tels que les réacteurs nucléaires ou autres...) conçus pour exécuter des processus nucléaires. Cette science inclut l’étude de la corrosion des surfaces et du comportement de matériaux ou d’atomes dans des conditions de fonctionnement normales et anormales (par exemple lors d’un accident). Un autre domaine important de la chimie nucléaire est le comportement des objets et des matériaux radioactifs qui ont été placés dans un site d’élimination ou de stockage de déchets nucléaires.
Cette chimie inclut l’étude des effets chimiques résultant de l’absorption du rayonnement par les animaux vivants, les plantes et les autres matériaux. La chimie nucléaire a grandement facilité la compréhension des traitements médicaux spéciaux (comme la radiothérapie sur les cancers), et a permis à ces traitements de s’améliorer.
Elle comprend également l’étude de la production et de l’utilisation des sources radioactives et/ou nucléaires dans un éventail de processus liés à la chimie. On peut citer parmi ces processus étudiés la radiothérapie pour des applications médicales, l’utilisation de traceurs radioactifs au sein de l’industrie, des sciences ou encore de l’environnement, la production de combustibles nucléaires ou encore la spectroscopie à résonance magnétique nucléaire (RMN) qui est couramment utilisée en chimie organique de synthèse, en physico-chimie et pour l’analyse structurelle de chimie macromoléculaire... L’utilisation de ces rayonnements est également étudiée pour la modification de matériaux, principalement les polymères. Enfin, elle traite de l’influence de la masse atomique des éléments sur les réactions chimiques et les propriétés des composés chimiques.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
In this course, one acquires an understanding of the basic neutronics interactions occurring in a nuclear fission reactor as well as the conditions for establishing and controlling a nuclear chain rea
Le neptunium est un élément chimique de synthèse de symbole Np et de numéro atomique 93. Élément métallique radioactif, le neptunium est le premier des transuraniens et appartient à la famille des actinides. Son isotope le plus stable, le neptunium 237, est produit dans les réacteurs nucléaires. On le trouve aussi sous forme de traces dans le minerai d'uranium. Il fut découvert en 1940 à l'Université de Californie. Comme il vient après l'uranium dans le tableau périodique, il fut baptisé en référence à la planète Neptune, qui vient après Uranus dans le système solaire.
Le curium, de symbole Cm, est l'élément chimique de . C'est un transuranien synthétique de la famille des actinides. Il a été nommé d'après les physiciens Pierre et Marie Curie. Le curium se présente comme un métal radioactif, d'un blanc argenté et d'une grande dureté. Il se forme dans les réacteurs nucléaires : une tonne de combustible usé en contient en moyenne . Le curium a été formé pour la première fois à l'été 1944 à partir d'un élément plus léger, le plutonium. Cette découverte n'a tout d'abord pas été rendue publique.
L’américium (symbole Am) est l'élément chimique de numéro atomique 95. C'est un élément transuranien de la famille des actinides, radioactif et synthétique. Le corps simple est un métal dans les conditions normales de température et de pression. L’américium est un élément radioactif de la famille des actinides. Sous forme métallique, il a une couleur blanche et un lustre argenté (plus argenté que le plutonium ou le neptunium). À température ambiante, il se ternit lentement dans l’air sec.
Selon le contexte d'usage, le terme d’énergie nucléaire recouvre plusieurs acceptions, toutes liées à la physique et aux réactions de noyaux atomiques. Dans le langage courant, l’énergie nucléaire correspond aux usages civils et militaires de l’énergie libérée lors des réactions de fission nucléaire ou de fusion nucléaire de noyaux atomiques au sein d'un réacteur nucléaire ou lors d'une explosion atomique.
La chimie organométallique est l'étude des composés chimiques contenant une liaison covalente entre un métal et un atome de carbone situé dans un groupe organique. Elle combine des aspects de la chimie organique et de la chimie inorganique. 1827 Le sel de Zeise, nommé en l'honneur de William Christopher Zeise, est le premier complexe oléfines/platine. 1863 Charles Friedel et James Crafts préparent un organochlorosilane. 1890 Ludwig Mond découvre le carbonyle de nickel. 1899 Introduction de la réaction de Grignard.
thumb|150px|Les composés inorganiques sont très variés : A : le borane est déficient en électrons ; B : le chlorure de césium a une structure cristalline archétypique ; C : les ferrocènes sont des complexes organométalliques ; D : le silicone a de nombreuses utilisations dont les implants mammaires ; E : le catalyseur de Grubbs a valu le prix Nobel de chimie à son découvreur ; F : les zéolithes ont des structures poreuses et servent de tamis moléculaires ; G : l'acétate de cuivre (II) a surpris les théoricie
Explore la tolérance aux défauts, la propagation des erreurs et le théorème Gottesman-Kill dans les sous-groupes stabilisateurs.
Explore le design moléculaire computationnel, mettant l'accent sur la théorie mathématique, l'informatique haute performance et les expériences In Vivo.
Analyse les données transversales totales pour la fission nucléaire, couvrant la dépendance énergétique, le transport, les réactions, les incertitudes, les fragments de fission et les risques radiologiques.
Characteristics of the spent nuclear fuel (SNF) are typically calculated, requiring validation a priori. The validation process relies on the difference between calculations and measurements, namely the bias. Usually, predicting the bias based on benchmark ...
EPFL2022
,
Superhydrogenated polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs) have been suggested to catalyze the formation of H-2 in certain regions of space, but it remains unclear under which circumstances this mechanism is viable given the reduced carbon backbone stabilit ...
2021
Decades of uranium-related activities such as ore mining, nuclear power generation, weapon manufacture, storage of nuclear wastes, have contributed to the release of U in the environment. U occurrence is concerning, since in surface environments, U is typi ...