MatièreEn physique, la matière est ce qui compose tout corps (objet ayant une réalité spatiale et massique). C'est-à-dire plus simplement une substance matérielle et donc occupe de l'espace. Les quatre états les plus communs sont l'état solide, l'état liquide, l'état gazeux et l'état plasma. Réciproquement, en physique, tout ce qui a une masse est de la matière. La matière ordinaire qui nous entoure est formée principalement de baryons et constitue la matière baryonique.
Mécanique relativisteEn physique, la mécanique relativiste se rapporte à la mécanique compatible avec la relativité restreinte (RR) et la relativité générale (RG). Elle fournit une description non-quantique d'un système de particules, ou d'un liquide, dans le cas où les vitesses de déplacement des objets sont comparables à la vitesse de la lumière c. En conséquence, la mécanique classique est étendue correctement aux particules se déplaçant à des vitesses et des énergies élevées, et assure une inclusion cohérente de l'électromagnétisme avec la mécanique des particules.
Gravité semi-classiqueLa gravité semi-classique (gravitation semi-classique) est une approximation de physique semi-classique qui décrit une théorie quantique des champs dans un fond gravitationnel courbe classique. Dans la gravité semi-classique, la matière est représenté par des champs quantiques de matière qui se propage selon la théorie quantique des champs dans un espace-temps courbe. L'espace-temps dans lequel les champs se propagent est classique mais dynamique.
Vitesse relativisteUne vitesse relativiste est une vitesse proche de celle de la lumière dans le vide, telle que les effets de la relativité restreinte deviennent non négligeables. Une particule « voyageant » à une vitesse relativiste est appelée simplement « particule relativiste ». En cas de vitesse extrêmement proche voire égale (pour des particules sans masse) à la célérité de la lumière, on parle de vitesse ultra-relativiste et de particule ultra-relativiste.
Foucault's measurements of the speed of lightIn 1850, Léon Foucault used a rotating mirror to perform a differential measurement of the speed of light in water versus its speed in air. In 1862, he used a similar apparatus to measure the speed of light in the air. In 1834, Charles Wheatstone developed a method of using a rapidly rotating mirror to study transient phenomena, and applied this method to measure the velocity of electricity in a wire and the duration of an electric spark. He communicated to François Arago the idea that his method could be adapted to a study of the speed of light.
Specific forceSpecific force is defined as the non-gravitational force per unit mass. Specific force (also called g-force and mass-specific force) is measured in meters/second2 (m·s−2) which is the units for acceleration. Thus, specific force is not actually a force, but a type of acceleration. However, the (mass-)specific force is not a coordinate-acceleration, but rather a proper acceleration, which is the acceleration relative to free-fall. Forces, specific forces, and proper accelerations are the same in all reference frames, but coordinate accelerations are frame-dependent.
Absolute rotationIn physics, the concept of absolute rotation—rotation independent of any external reference—is a topic of debate about relativity, cosmology, and the nature of physical laws. For the concept of absolute rotation to be scientifically meaningful, it must be measurable. In other words, can an observer distinguish between the rotation of an observed object and their own rotation? Newton suggested two experiments to resolve this problem.
Local reference frameIn theoretical physics, a local reference frame (local frame) refers to a coordinate system or frame of reference that is only expected to function over a small region or a restricted region of space or spacetime. The term is most often used in the context of the application of local inertial frames to small regions of a gravitational field.
PseudorapiditéEn physique des particules expérimentale, la pseudorapidité, , est une coordonnée spatiale couramment utilisée pour décrire l'angle de la trajectoire d'une particule par rapport à l'axe du faisceau. Elle est définie par : où est l'angle entre l'impulsion de la particule et l'axe du faisceau. De manière réciproque, On peut aussi l'écrire en fonction de l'impulsion : où est la composante de l'impulsion selon l'axe du faisceau (c'est-à-dire l'impulsion longitudinale, notée aussi par le système de coordonnées conventionnel utilisé par la physique des collisionneur de hadrons).
Formule de LarmorEn physique, la formule de Larmor a été établie par Joseph Larmor en 1897, dans le contexte de la théorie ondulatoire de la lumière. Une particule chargée, accélérée émet des radiations sous forme d'ondes électromagnétiques. La puissance totale émise est donnée par l'expression suivante : où est l'accélération, la charge de la particule et la célérité de la lumière dans le vide. Catégorie:Physique atomique Catégorie:Électromagnétisme Catégorie:Électrodynamique Catégorie:Équation aux dérivées partielles Cat