Love and hate (psychoanalysis)Love and hate as co-existing forces have been thoroughly explored within the literature of psychoanalysis, building on awareness of their co-existence in Western culture reaching back to the “odi et amo” of Catullus, and Plato's Symposium. Ambivalence was the term borrowed by Sigmund Freud to indicate the simultaneous presence of love and hate towards the same object. While the roots of ambivalence can be traced back to breast-feeding in the oral stage, it was re-inforced during toilet-training as well.
Madonna–whore complexIn psychoanalytic literature, a Madonna–whore complex, also called a Madonna–mistress complex, is the inability to maintain sexual arousal within a committed, loving relationship. First identified by Sigmund Freud, under the rubric of psychic impotence, this psychological complex is said to develop in men who see women as either saintly Madonnas or debased prostitutes. Men with this behavioral complex desire a sexual partner who has been degraded (the whore) while they cannot desire the respected partner (the Madonna).
Amour-haineUn rapport amour-haine est un rapport personnel impliquant des émotions simultanées ou alternatives de joie et de colère, ainsi que des sentiments d'amour et d'inimitié. Quelquefois, cela peut aussi signifier une personne qui aime une autre personne ou objet, et se déteste pour cela. Ces rapports ne sont pas obligatoirement romantiques, ils peuvent aussi être fraternels. Ces rapports sont aussi dits passionnés. Ce type de relation peut être étendu aux objets inanimés, mais aussi aux idées, aux concepts.
Identification projectiveL' identification projective, désigne, en psychanalyse, le fait de projeter sur un objet des caractéristiques du soi pour s'y reconnaître. L'identification projective peut devenir un mécanisme de défense pathologique qui consiste à prendre possession de cet objet (qui peut être une personne) dans une tentative de contrôle et d'annihilation de cet objet dont les caractéristiques propres sont alors niées.
AmbivalenceLe terme a été repris en 1910 par Eugen Bleuler pour caractériser un aspect de l'état psychique des schizophrènes. Il a été introduit par Sigmund Freud dans une acception différente : il s'agit de la juxtaposition plus ou moins simultanée de deux affects : l'amour et la haine. C'est à partir de là que ce terme a recouvert un concept psychanalytique qui, curieusement par rapport à Bleuler, s'applique à des organisations névrotiques et qu'on distingue de la paradoxalité (Racamier), de la divalence et de l'ambiguïté (Bleger).
Mécanisme de défenseLes mécanismes de défense (Abwehrmechanismen) désignent en psychanalyse et chez Freud les procédés inconscients employés principalement par le Moi dans différentes organisations psychiques comme les névroses. Les travaux d'Anna Freud sont particulièrement centrés sur ce thème. Laplanche et Pontalis donnent des mécanismes de défense la définition suivante: ce sont . Ils précisent ensuite qu'. Pour Elsa Schmid-Kitsikis, . Quant à la définition de la « défense », lorsque le mot « défense » est pris absolument, le terme désigne pour le même auteur .
Death driveIn classical Freudian psychoanalytic theory, the death drive (Todestrieb) is the drive toward death and destruction, often expressed through behaviors such as aggression, repetition compulsion, and self-destructiveness. It was originally proposed by Sabina Spielrein in her paper "Destruction as the Cause of Coming Into Being" (Die Destruktion als Ursache des Werdens) in 1912, which was then taken up by Sigmund Freud in 1920 in Beyond the Pleasure Principle.
Clivage de l'objetLe clivage de l'objet est une notion psychanalytique introduite par Melanie Klein et désignant un mécanisme de défense primitive contre l'angoisse. Pour Melanie Klein, le mécanisme du « clivage de l'objet » est la défense la plus primitive qui soit contre l'angoisse : l'objet, que visent les pulsions érotiques et destructives, se trouve scindé entre un « bon » et un « mauvais » objet dont les destins respectifs sont alors .
Id, ego and super-egoIn psychoanalytic theory, the id, ego and super-ego are three distinct, interacting agents in the psychic apparatus, defined in Sigmund Freud's structural model of the psyche. The three agents are theoretical constructs that Freud employed to describe the basic structure of mental life as it was encountered in psychoanalytic practice. Freud himself used the German terms das Es, Ich, and Über-Ich, which literally translate as "the it", "I", and "over-I". The Latin terms id, ego and super-ego were chosen by his original translators and have remained in use.
Dissonance cognitiveEn psychologie sociale, la dissonance cognitive est la tension interne propre au système de pensées, croyances, émotions et attitudes (cognitions) d'une personne lorsque plusieurs d'entre elles entrent en contradiction les unes avec les autres. Le terme désigne également la tension qu'une personne ressent lorsqu'un comportement entre en contradiction avec ses idées ou croyances. Ce concept a été formulé pour la première fois par le psychologue Leon Festinger dans son ouvrage A theory of cognitive dissonance (1957).