La pyramide pentagonale gyroallongée est une figure géométrique faisant partie des solides de Johnson (J11).
Comme son nom le suggère, elle peut être obtenu par gyroallongement d'une pyramide pentagonale (J2), ce qui dans ce cas suppose d'y joindre un antiprisme pentagonal à sa base.
Les 92 solides de Johnson furent nommés et décrits par Norman Johnson en 1966.
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L'icosaèdre métabidiminué est un polyèdre faisant partie des solides de Johnson (J62). Comme le nom l'indique, il peut être construit en diminuant doublement un icosaèdre en détachant deux pyramides pentagonales (J2). Les 92 solides de Johnson ont été nommés et décrits par Norman Johnson en 1966. MathWorld.wolfram.
En géométrie, l'antiprisme pentagonal est le troisième solide de l'ensemble infini des antiprismes. Celui-ci peuvent être regardé comme un prisme pentagonal dont on a opéré une fraction de tour sur une des deux faces supérieure ou inférieure pour faire coïncider un sommet avec le milieu de l'arête correspondante. Ce qui a pour résultat une suite de triangles en nombre pair sur les côtés, et deux faces pentagonales supérieure et inférieure. Si toutes ses faces sont régulières, c'est un polyèdre semi-régulier.
En géométrie, un icosaèdre est un solide de dimension 3, de la famille des polyèdres, contenant exactement vingt faces. Le préfixe icosa-, d'origine grecque, signifie « vingt ». Il existe de nombreux polyèdres à vingt faces tels l'icosaèdre régulier convexe (appelé plus simplement icosaèdre si le contexte fait référence aux solides de Platon), l'icosaèdre rhombique, le pseudo-icosaèdre, le grand icosaèdre ou plusieurs solides de Johnson.