Doxastic logic is a type of logic concerned with reasoning about beliefs.
The term derives from the Ancient Greek (doxa, "opinion, belief"), from which the English term doxa ("popular opinion or belief") is also borrowed. Typically, a doxastic logic uses the notation to mean "It is believed that is the case", and the set denotes a set of beliefs. In doxastic logic, belief is treated as a modal operator.
There is complete parallelism between a person who believes propositions and a formal system that derives propositions. Using doxastic logic, one can express the epistemic counterpart of Gödel's incompleteness theorem of metalogic, as well as Löb's theorem, and other metalogical results in terms of belief.
To demonstrate the properties of sets of beliefs, Raymond Smullyan defines the following types of reasoners:
Accurate reasoner: An accurate reasoner never believes any false proposition. (modal axiom T)
Inaccurate reasoner: An inaccurate reasoner believes at least one false proposition.
Consistent reasoner: A consistent reasoner never simultaneously believes a proposition and its negation. (modal axiom D)
Normal reasoner: A normal reasoner is one who, while believing also believes they believe p (modal axiom 4).
A variation on this would be someone who, while not believing also believes they don't believe p (modal axiom 5).
Peculiar reasoner: A peculiar reasoner believes proposition p while also believing they do not believe Although a peculiar reasoner may seem like a strange psychological phenomenon (see Moore's paradox), a peculiar reasoner is necessarily inaccurate but not necessarily inconsistent.
Regular reasoner: A regular reasoner is one who, while believing , also believes .
Reflexive reasoner: A reflexive reasoner is one for whom every proposition has some proposition such that the reasoner believes .
If a reflexive reasoner of type 4 [see below] believes , they will believe p. This is a parallelism of Löb's theorem for reasoners.
Conceited reasoner: A conceited reasoner believes their beliefs are never inaccurate.
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La logique — du grec , qui est un terme dérivé de signifiant à la fois « raison », « langage » et « raisonnement » — est, dans une première approche, l'étude de l'inférence, c'est-à-dire des règles formelles que doit respecter toute argumentation correcte. Le terme aurait été utilisé pour la première fois par Xénocrate. La logique antique se décompose d'abord en dialectique et rhétorique. Elle est depuis l'Antiquité l'une des grandes disciplines de la philosophie, avec l'éthique (philosophie morale) et la physique (science de la nature).
La logique épistémique est une logique modale qui permet de raisonner à propos de la connaissance d'un ou plusieurs agents. Elle permet aussi de raisonner sur les connaissances des connaissances des autres agents, etc. Son nom est tiré du nom grec epistḗmē qui signifie « connaissance » (du verbe epístamai « savoir »), d'où vient aussi le mot épistémologie. L'application de la logique épistémique à l'économie a été promue par Robert Aumann, Prix Nobel d'économie 2005. Elle a été introduite par et Jaakko Hintikka.
thumb|upright=1.2|La légende du Phénix renaissant de ses cendres est une croyance en la résurrection si empreinte dans la civilisation occidentale qu'elle est passée sur les plans symbolique et littéraire.Détail du Bestiaire d'Aberdeen, . La croyance est le fait d'attribuer une valeur de vérité à une proposition ou un énoncé, indépendamment des éléments de réalité confirmant ou infirmant cette proposition ou cet énoncé. Le mot peut désigner tantôt le contenu de ce qui est cru, comme dans l'exemple donné par Pascal Engel , tantôt l'attitude ou l'état psychologique de celui qui croit.
Simmons asked whether there exists a signature scheme with a broadband covert channel that does not require the sender to compromise the security of her signing key. We answer this question in the affirmative; the ElGamal signature scheme has such a channe ...