vignette|upright=.65|Positions moyennes des systèmes météorologiques lors des oscillations arctiques positives et négatives.
L’oscillation arctique (OA) est une variation de la différence de pression atmosphérique, au niveau de la mer, entre 20° N et le Pôle, d'une année à l'autre. Cette variation est reliée à l'intensité et la position moyenne des dépressions et anticyclones entre l'Arctique et les latitudes de 37° à 45° nord ; ainsi que celle du vortex polaire. Elle couvre tout l’hémisphère nord alors que d'autres oscillations similaires, comme l’oscillation nord-atlantique, couvrent des bassins océaniques particuliers.
Lorsque l'oscillation arctique se trouve dans sa phase positive, il existe une plus grande différence de pression entre 20N et le Pôle, une basse pression prédomine dans l'Arctique et une haute pression dans les latitudes tempérées de la planète. Lorsqu'elle est négative, les systèmes s'inversent. Il faut habituellement de quelques jours à plusieurs mois pour que les situations s'inversent ainsi et c'est ce que l'on nomme l'oscillation.
Ce schéma de la situation en surface est intimement lié à la situation dans la haute troposphère et la stratosphère. La stratosphère tend à se refroidir durant la phase positive, et inversement durant la phase négative. Cela a pour conséquence de renforcer le vortex polaire en phase positive.
vignette|gauche|Graphique de l'oscillation arctique hivernale (positive en rouge et négative en bleu) de 1899 à 2013.
Le basculement zonal symétrique entre les pressions du niveau de la mer dans les latitudes polaires et tempérées a été identifié pour la première fois par Edward Lorenz et nommé en 1998 par David W.J. Thompson et John Michael Wallace.
Pendant la plus grande partie du , l'oscillation arctique a alterné entre des phases positives et négatives. À partir des années 1970, l'oscillation s'est orientée vers une phase plus positive lorsqu'elle fut calculée en utilisant une moyenne mobile de 60 jours, bien qu'elle ait évolué vers un état plus neutre au cours de la dernière décennie.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
The Global Arctic MOOC introduces you the dynamics between global changes and changes in the Arctic. This course aims to highlight the effects of climate change in the Polar region. In turn, it will u
The course equips students with a comprehensive scientific understanding of climate change covering a wide range of topics from physical principles, historical climate change, greenhouse gas emissions
Le but du cours de physique générale est de donner à l'étudiant les notions de base nécessaires à la compréhension des phénomènes physiques. L'objectif est atteint lorsque l'étudiant est capable de pr
Sea ice in the Arctic has declined in recent decades in area and volume due to climate change. It has been melting more in summer than it refreezes in winter. Global warming, caused by greenhouse gas forcing is responsible for the decline in Arctic sea ice. The decline of sea ice in the Arctic has been accelerating during the early twenty‐first century, with a decline rate of 4.7% per decade (it has declined over 50% since the first satellite records). It is also thought that summertime sea ice will cease to exist sometime during the 21st century.
thumb|upright=0.8|Carte de l'Océan arctique Le dipôle arctique est un schéma de circulation atmosphérique de l'hémisphère nord, lié partiellement au réchauffement climatique et à l'effondrement de la banquise arctique. Il tend à remplacer l'oscillation arctique en tant que mode dominant de variabilité du climat de l'hémisphère nord. Identifié pour la première fois en 1995, il avait été alors négligé. Depuis 2006 environ, il a pris une très grande importance qui a suscité une abondante littérature à son sujet.
L’oscillation nord-atlantique (ONA, plus connue sous le sigle anglais NAO) désigne un phénomène touchant le système climatique du nord de l'océan Atlantique. L'ONA décrit les variations du régime océan-atmosphère sur la région et se mesure généralement comme la différence de pression atmosphérique entre l'anticyclone des Açores et la dépression d'Islande. Elle est notamment corrélée à l’oscillation arctique. L’ONA a été découverte durant les par Sir Gilbert Walker, qui avait découvert précédemment l’oscillation australe dans l'océan Pacifique et à laquelle est relié le phénomène El Niño.
Explore l'impact des changements climatiques sur les régions polaires, en mettant l'accent sur les événements extrêmes, l'amplification polaire et les répercussions du réchauffement de l'Arctique.
Explore les contraintes, la puissance, le travail et l'énergie cinétique, y compris les périodes d'oscillation, les intégrales elliptiques, les polynômes Legendre et leurs applications.
The seasonal movement of the zero-degree isotherm across the Southern Ocean and Antarctic Peninsula drives major changes in the physical and biological processes around maritime Antarctica. These include spatial and temporal shifts in precipitation phase, ...
2023
, , , ,
The Arctic is one of the most rapidly warming regions of the globe. Low-level clouds and fog modify the energy transfer from and to space and play a key role in the observed strong Arctic surface warming, a phenomenon commonly termed "Arctic amplification" ...
Gottingen2023
,
Representing single or multi-layered mixed-phase clouds (MPCs) accurately in global climate models (GCMs) is critical for capturing climate sensitivity and Arctic amplification. Ice multiplication, or secondary ice production (SIP), can increase the ice cr ...