The fact–value distinction is a fundamental epistemological distinction described between:
Statements of fact (positive or descriptive statements), based upon reason and physical observation, and which are examined via the empirical method.
Statements of value (normative or prescriptive statements), which encompass ethics and aesthetics, and are studied via axiology.
This barrier between fact and value, as construed in epistemology, implies it is impossible to derive ethical claims from factual arguments, or to defend the former using the latter.
The fact–value distinction is closely related to, and derived from, the is–ought problem in moral philosophy, characterized by David Hume.
Religion and science
In his essay Science as a Vocation (1917) Max Weber draws a distinction between facts and values. He argues that facts can be determined through the methods of a value-free, objective social science, while values are derived through culture and religion, the truth of which cannot be known through science. He writes, "it is one thing to state facts, to determine mathematical or logical relations or the internal structure of cultural values, while it is another thing to answer questions of the value of culture and its individual contents and the question of how one should act in the cultural community and in political associations. These are quite heterogeneous problems." In his 1919 essay Politics as a Vocation, he argues that facts, like actions, do not in themselves contain any intrinsic meaning or power: "any ethic in the world could establish substantially identical commandments applicable to all relationships."
To MLK Jr., "Science deals mainly with facts; religion deals mainly with values. The two are not rivals. They are complementary." He stated that science keeps religion from"crippling irrationalism and paralyzing obscurantism" whereas Religion prevents science from "falling into ... obsolete materialism and moral nihilism.
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vignette|Peinture de David Hume, 1754. La loi de Hume, aussi appelée guillotine de Hume, est une proposition méta-éthique qui interdit l'inférence d'un « être » (is) à un « devoir-être » (ought). Ou comme le formule Raymond Boudon . La réflexion originale de David Hume se situe dans le Traité de la nature humaine : La loi de Hume a été interprétée et parfois confondue avec la réfutation par George Edward Moore de ce qu'il qualifiait de « sophisme naturaliste » dans son Principia Ethica paru en 1903.
Un paralogisme naturaliste est une faute de logique consistant à confondre un jugement de fait avec un jugement normatif. Le paralogisme naturaliste passe donc du jugement « x fait y » au jugement « x doit faire y ». Il s'agit d'une erreur de logique que l'on retrouve surtout en éthique lorsque l'on fonde un jugement normatif sur un état de fait. En renversant l'ordre de ce paralogisme, on obtient un paralogisme moraliste, qui consiste à dire qu'une chose existe parce qu'elle est moralement bonne et à présupposer a priori son existence au nom d'un jugement moral.
Le réalisme moral est la thèse méta-éthique selon laquelle les valeurs morales sont des faits objectifs, indépendantes des croyances individuelles et des normes culturelles. Selon ce principe, il existe des vérités morales objectives qui peuvent être découvertes et justifiées par la raison. Le réalisme moral implique qu'il y ait des faits moraux, concernant par exemple les actions obligatoires, les actions justes et les actions mauvaises, dont l'existence et la nature sont en grande partie indépendantes des croyances et des attitudes de ceux qui les expriment.
S'insère dans la relation complexe entre l'architecture et la société, explorant les possibilités de créer des designs architecturaux autonomes et critiques.
The advent of nanotechnology has allowed scientists to study light–matter interactions at the nanoscale. A considerable amount of fundamental knowledge has accumulated in the past two decades and the field of nano-optics may now in fact be on the cusp of d ...