Hydrocodone, also known as dihydrocodeinone, is an opioid used to treat pain and as a cough suppressant. It is taken by mouth. Typically it is dispensed as the combination acetaminophen/hydrocodone or ibuprofen/hydrocodone for pain severe enough to require an opioid and in combination with homatropine methylbromide to relieve cough. It is also available by itself in a long-acting form under the brand name Zohydro ER, among others, to treat severe pain of a prolonged duration. Hydrocodone is a controlled drug, in the United States a Schedule II Controlled Substance.
Common side effects include dizziness, sleepiness, nausea, and constipation. Serious side effects may include low blood pressure, seizures, QT prolongation, respiratory depression, and serotonin syndrome. Rapidly decreasing the dose may result in opioid withdrawal. Use during pregnancy or breastfeeding is generally not recommended. Hydrocodone is believed to work by activating opioid receptors, mainly in the brain and spinal cord. Hydrocodone 10 mg is equivalent to about 10 mg of morphine by mouth.
Hydrocodone was patented in 1923, while the long-acting formulation was approved for medical use in the United States in 2013. It is most commonly prescribed in the United States, which consumed 99% of the worldwide supply as of 2010. In 2018, it was the 402nd most commonly prescribed medication in the United States, with more than 400,000 prescriptions. Hydrocodone is a semisynthetic opioid, converted from codeine or less often from thebaine. Production using genetically engineered yeasts has been developed but is not used commercially.
Hydrocodone is used to treat moderate to severe pain. In liquid formulations, it is used to treat cough. In one study comparing the potency of hydrocodone to that of oxycodone, it was found that it took 50% more hydrocodone to achieve the same degree of miosis (pupillary contraction). The investigators interpreted this to mean that oxycodone is about 50% more potent than hydrocodone.
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Un opioïde est une substance psychotrope de synthèse (fentanyl) ou naturelle (opiacés qui agissent sur les récepteurs aux peptides opioïdes) dont les effets sont similaires à ceux de l'opium sans y être chimiquement apparentés. Les opioïdes exercent leurs effets par stimulation directe ou indirecte des récepteurs opiacés, qui sont surtout logés dans les systèmes nerveux central et parasympathique. Les récepteurs de ces organes servent de médiateurs à la fois aux effets bénéfiques et néfastes des opioïdes.
La morphine (du grec Μορφεύς, Morphée, dieu grec du sommeil et des rêves) est le principal alcaloïde de l'opium, le latex du pavot somnifère (Papaver somniferum). C'est une molécule complexe utilisée en médecine comme analgésique (médicament utilisé pour lutter contre la douleur) et comme drogue pour son action euphorisante. L'opium est utilisé en médecine depuis le dans diverses cultures et fut l'un des piliers de la pharmacopée traditionnelle mais la morphine n'est néanmoins découverte et isolée qu'en 1804 ; sa nature chimique et son usage pharmaceutique furent établis dans les années suivantes par l'Allemand Friedrich Wilhelm Sertürner, révolutionnant l'analgésie dans la médecine.
La codéine, ou 3-méthylmorphine, est l'un des alcaloïdes contenus dans le pavot somnifère (Papaver somniferum). Elle est utilisée comme analgésique et comme antitussif narcotique. Elle a été isolée pour la première fois en 1832 par le chimiste français Pierre Jean Robiquet. Son nom provient du nom en grec de la tête de pavot : κώδεια, kốdeia. Morphinique mineur, la codéine est utilisée seule mais aussi en association avec du paracétamol ou de l'ibuprofène pour en potentialiser l'effet analgésique, souvent dans des préparations classées au de l'échelle des antalgiques de l'OMS.
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