The National Assembly of Thailand (Abrv: NAT; รัฐสภา, , rát.thā.sā.phāː) is the bicameral legislative branch of the government of Thailand. It convenes in the Sappaya-Sapasathan, Dusit District, Bangkok.
The National Assembly was established in 1932 after the adoption of Thailand's first constitution, which transformed Thailand from an absolute monarchy to a constitutional monarchy.
During the 2013 political crisis, the House of Representatives was dissolved by Prime Minister Yingluck Shinawatra who called for election on 2 February 2014 until it was nullified by the Constitutional Court. After the 2014 coup d'état, the National Assembly was replaced by the military-backed, unicameral National Legislative Assembly according to the 2014 constitution.
After the promulgation of the 2017 Constitution in April 2017, the National Assembly was reestablished but the constitution allowed the military National Legislative Assembly to temporarily remain in place until the National Assembly was formed following the 2019 general election.
The National Assembly of the Kingdom of Thailand is a bicameral legislature composed of a Senate and a House of Representatives. Combined, the Assembly has 750 members, 500 of which were elected directly through a general election (500 MPs in the lower house). Others include all 250 members of the Senate being appointed by the military. The majority of elections in Thailand follow the first-past-the-post system which is used in the elections for the 400 members of the House of Representatives. The remaining 100 members of the House are elected by party list proportional representation.
Thailand's parliament is overwhelmingly male, at 95 percent. Representation by women is five percent, among the world's lowest. The Asian average is 20 percent while the global average for female parliamentarians is 24 percent. All fall short of the 30 percent considered satisfactory by United Nations Women.
Senate of Thailand
The upper house is called the Senate of Thailand. The chamber is non-partisan and has limited legislative powers.
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La politique en Thaïlande s'inscrit dans le cadre d'une monarchie constitutionnelle. Le chef d'État de la Thaïlande depuis le roi, issu d'une monarchie héréditaire et le chef de gouvernement et le premier ministre. Indépendante depuis 1238, la Thaïlande, appelée officiellement royaume de Thaïlande, est le seul pays du Sud-Est asiatique qu'aucune puissance étrangère n'ait jamais colonisé, bien que partiellement occupé durant l'entente cordiale franco-britannique, par ces deux pays puis par le Japon.
Le coup d'État de 2014 en Thaïlande est un putsch déclenché par Prayuth Chan-ocha, commandant en chef de l'Armée royale thaïlandaise. Le , alors que le pays traverse une crise politique depuis plusieurs mois, la junte militaire renverse le gouvernement provisoire dirigé par le Premier ministre par intérim Niwatthamrong Boonsongpaisan. Celui-ci a remplacé Yingluck Shinawatra, destituée le par la Cour constitutionnelle de Thaïlande. Yingluck Shinawatra, tête de liste du parti Pheu Thai, remporte les élections législatives de 2011 et est nommée premier ministre de Thaïlande.
La Thaïlande est l’un des pays au monde où la longévité des constitutions est la plus faible : une tous les quatre ans et demi en moyenne . En 2022, au cours de 90 années de démocratie, la Thaïlande a connu pas moins de vingt constitutions et de nombreux coups d’État, le dernier remontant à 2014. Ces incessants changements de constitution en Thaïlande sont la traduction de la lutte de pouvoir entre le palais, la société civile et l'armée.