Résumé
The insulin-like growth factors (IGFs) are proteins with high sequence similarity to insulin. IGFs are part of a complex system that cells use to communicate with their physiologic environment. This complex system (often referred to as the IGF "axis") consists of two cell-surface receptors (IGF1R and IGF2R), two ligands (IGF-1 and IGF-2), a family of seven high-affinity IGF-binding proteins (IGFBP1 to IGFBP7), as well as associated IGFBP degrading enzymes, referred to collectively as proteases. The IGF "axis" is also commonly referred to as the Growth Hormone/IGF-1 Axis. Insulin-like growth factor 1 (commonly referred to as IGF-1 or at times using Roman numerals as IGF-I) is mainly secreted by the liver as a result of stimulation by growth hormone (GH). IGF-1 is important for both the regulation of normal physiology, as well as a number of pathological states, including cancer. The IGF axis has been shown to play roles in the promotion of cell proliferation and the inhibition of cell death (apoptosis). Insulin-like growth factor 2 (IGF-2, at times IGF-II) is thought to be a primary growth factor required for early development while IGF-1 expression is required for achieving maximal growth. Gene knockout studies in mice have confirmed this, though other animals are likely to regulate the expression of these genes in distinct ways. While IGF-2 may be primarily fetal in action it is also essential for development and function of organs such as the brain, liver, and kidney. Factors that are thought to cause variation in the levels of GH and IGF-1 in the circulation include an individual's genetic make-up, the time of day, age, sex, exercise status, stress levels, nutrition level, body mass index (BMI), disease state, race, estrogen status, and xenobiotic intake. IGF-1 has an involvement in regulating neural development including neurogenesis, myelination, synaptogenesis, and dendritic branching and neuroprotection after neuronal damage. Increased serum levels of IGF-I in children have been associated with higher IQ.
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Cancer
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Leptine
vignette|De multiples facteurs peuvent entraîner un déséquilibre hormonal et favoriser l'obésité. Ce déséquilibre met en jeu de nombreux signaux centraux et périphériques impliqués dans la régulation de la prise alimentaire, tels que la ghréline orexigène (régulation à court terme) et la leptine anorexigène (régulation à long terme). La leptine (du grec leptos, mince) parfois dite « hormone de la satiété » est une hormone digestive peptidique qui régule les réserves de graisses dans l'organisme et l'appétit en contrôlant la sensation de satiété.
Récepteur transmembranaire
Les récepteurs transmembranaires sont des protéines intégrales de membrane, qui résident et agissent typiquement au sein de la membrane plasmique de la cellule, mais aussi dans les membranes de quelques compartiments sous-cellulaires et organites. Leur association avec une (ou parfois deux) molécules d'un côté de la membrane produit une réaction de l'autre côté. À ce titre, ils jouent un rôle unique dans les communications entre les cellules et la transmission du signal.
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