Iona (Écosse)Iona est une petite île de l'ouest de l'Écosse située dans les mers intérieures de la côte ouest de l'Écosse, et faisant partie des Hébrides intérieures. À l'est, elle est séparée de l'île de Mull par le détroit d'Iona, large au minimum d'un kilomètre deux-cent-vingt mètres. L'île, avec 4,8 km du nord au sud et 2,4 km d'est en ouest, s'étend sur 800 hectares. Le point le plus élevé, Dun I, culmine à 101 m. L'île est reliée à sa voisine Mull via un ferry de Fionnphort à la petite agglomération de Baile Mor.
Entrelacs (ornement)vignette|Entrelacs viking, Stavkirke d'Urnes. vignette|Croix celtique avec entrelacs. vignette|L'entrelacs tire souvent son effet esthétique du principe du nœud ou du passage alternatif dessus/dessous d'un ruban souple. La forme peut en être fermée (comme ici), ou répétée en boucle « infinie », c'est-à-dire dans une frise fermée sur elle-même, faisant par exemple le tour d'une pièce de tissus, d'une page de parchemin enluminé, d'un coffre peint, ou encore d'un bras s'il s'agit d'un tatouage.
Vélinvignette|redresse=1.5|Enluminures réalisées sur les pages en vélin d'un livre du . Le vélin est une variété de parchemin, apparue à la fin du Moyen Âge. Plus lisse, plus blanc et plus fin, il est supposé être préparé à partir d'une peau de veau mort-né, dit velot, afin de servir de support pour l'écriture, l'enluminure, l'imprimerie et la reliure. La bibliothèque centrale du Muséum national d'histoire naturelle à Paris renferme une précieuse collection de .
Art celtethumb|Torque en or de l'époque hallstattienne (Tombe de Vix). Les Celtes n'ayant laissé que très peu de traces écrites de leur civilisation, celle-ci nous est avant tout connue grâce à leur art, largement redécouvert durant la deuxième moitié du . L'art celte privilégie les petits objets utilitaires comme des armes, des bijoux, des ustensiles domestiques ou religieux. L'art des Celtes présente une grande diversité selon les époques et les régions considérées.
Vulgatevignette|240px|Bible de Gutenberg, vers 1455. La Vulgate est une version latine de la Bible, composée d'une part, en majorité des traductions faites à la fin du par Jérôme de Stridon, et d'autre part de traductions latines indépendantes de ce dernier appelées Vetus Latina (« vieille [bible] latine »). Jérôme commence son édition par les quatre Évangiles, en révisant et adaptant une version Vetus Latina de ces derniers qui était couramment en usage en Occident.