Résumé
Atmel est un fabricant mondial de composants à semi-conducteur, créé en 1984 par George Perlegos et dont l'activité historique est le développement de mémoires non volatiles. Aujourd'hui, Atmel développe également des microcontrôleurs à base de cœur AVR, 8051 ou ARM, des circuits sécurisés, des ASIC, des composants radiofréquences, des composants pour compteurs communicants, des composants pour écrans tactiles (Maxtouch) ainsi que ces écrans et des produits pour le Web des objets. Le mot Atmel est à l'origine un acronyme construit sur « Avanced Technologies for MEmory and Logic ». thumb|right|150px|Logo de 1984 à 2012 Le britannique e2v a racheté le site de Saint-Egrève (près de Grenoble) à Atmel en 2006 qui l'avait lui-même racheté à Thomson CSF en 2000. En 2007 ATMEL décide de vendre son usine présente à Newcastle (Angleterre). Les travaux de décontamination et de démolition du bâtiment débutent en 2008 et doivent se terminer en 2009. Le , le CEO d'Atmel, Steven Laub, annonce une offre non sollicitée de Microchip Technology et ON Semiconductor évalué à cinq dollars américains par action. L'offre a été rejetée et ces sociétés ont finalement abandonné leur tentative de rachat. Le 18 décembre, Steve Laub précise l’état d’avancement de la vente de Fab 7 Rousset à la société allemande LFoundry. Le , l'annonce est faite de l'acquisition définitive du site. Le 13 juin 2014, le tribunal de commerce de Paris a choisi le 13 juin l'offre du courtier brésilien « Six Semicondutores » qui acte le démantèlement de l'unité de fabrication de semi-conducteurs LFoundry. En 2012, Atmel change de logo. En septembre 2015, Dialog Semiconductor fait une offre d'acquisition de 4,6 milliards de dollars sur Atmel. Cette offre est composée en cash et en action. À la suite de celle-ci, il est prévu que le nouvel ensemble soit détenu à 38 % par les actionnaires d'Atmel. En janvier 2016, Atmel accepte une offre non sollicitée de Microchip de 3,42 milliards de dollars, mais composée de davantage de liquidités et moins d'échanges d'actions, et annonce son souhait de renoncer à son accord avec Dialog Semiconductor, ce qui la conduit à payer une pénalité de fin d'accord de 137 millions de dollars.
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