Extra dimensionsIn physics, extra dimensions are proposed additional space or time dimensions beyond the (3 + 1) typical of observed spacetime, such as the first attempts based on the Kaluza–Klein theory. Among theories proposing extra dimensions are: Large extra dimension, mostly motivated by the ADD model, by Nima Arkani-Hamed, Savas Dimopoulos, and Gia Dvali in 1998, in an attempt to solve the hierarchy problem. This theory requires that the fields of the Standard Model are confined to a four-dimensional membrane, while gravity propagates in several additional spatial dimensions that are large compared to the Planck scale.
Théorie des supercordesthumb|Vue d'artiste de la théorie des supercordes. La théorie des supercordes est une tentative pour expliquer l'existence de toutes les particules et forces fondamentales de la nature, en les modélisant comme les vibrations de minuscules cordes supersymétriques. Au début du , elle est considérée comme la plus féconde des théories pour une gravité quantique, même si elle souffre des mêmes défauts que la théorie des cordes en raison de l'impossibilité de la vérifier par l'expérimentation.
Cosmologie branaireEn cosmologie et en théorie des cordes, la cosmologie branaire, appelée aussi théorie des cordes et des branes, est un modèle cosmologique dont l'idée principale est que notre univers, et tout ce qu'il contient, serait emprisonné dans une structure appelée brane (une « D3-brane » plus exactement), laquelle serait incluse dans un « super-univers » doté de dimensions supplémentaires et qui pourrait abriter d’autres branes (et donc d’autres univers).
Problème de la hiérarchieEn physique théorique, le problème de la hiérarchie concerne la divergence considérable entre les propriétés de la force faible et celles de la force gravitationnelle. Il n'y a aucun consensus scientifique sur ses causes, par exemple pourquoi la force faible est 10 fois plus intense que la gravitation ? Un problème de hiérarchie apparaît quand la valeur fondamentale d'un paramètre physique, tel qu'une constante de couplage ou une masse, dans un lagrangien est profondément différente de sa valeur mesurée (dite « effective ») lors d'une expérience.