Christianisme en Corée du SudLe christianisme est aujourd’hui la principale religion de Corée du Sud, il rassemble en 2010 31,6 % des Sud-Coréens, contre 24,2 % pour le bouddhisme. Le christianisme est lui-même partagé entre 24,0 % de protestants et 7,6 % de catholiques. La Corée du Sud compte ainsi la plus grande proportion de chrétiens en Asie, après les Philippines, le Timor oriental, le Liban, l’Arménie et la Géorgie. Missions catholiques au XIXe et au XXe siècles C’est par les ouvrages des jésuites publiés en Chine que le christianisme est introduit en Corée au siècle, durant la dernière dynastie Yi.
LiaoLe Liao est un fleuve de Chine, se jetant en mer de Bohai, qui fait partie de la mer Jaune. Avec , il s'agit du principal cours d'eau du sud de la Mandchourie. Le Liao se nomme Liao He (rivière Liao) en chinois ; il s'écrit 遼河 en écriture traditionnelle et 辽河 en écriture simplifiée. Sa transcription pinyin est liáo hé. Le Liao prend son nom après la confluence de deux cours d'eau distincts, le Xiliao (littéralement, le Liao de l'ouest) et le Dongliao (le Liao de l'est).
SeonjoSeonjo (né le et mort le ) est le quatorzième roi de Corée de la période Joseon. Il règne du jusqu'à sa mort quarante ans plus tard. Il est connu pour avoir encouragé le confucianisme et rénové les affaires de l'État au début de son règne, bien que le chaos politique et son incompétence pendant les invasions japonaises de la Corée aient gâché ses dernières années. King Seonjo naît avec le nom Yi Yeon en 1552 à Hanseong (aujourd'hui Séoul), capitale de la Corée, troisième fils de Deokheung Daewongun (대원군, « Grand Prince de la Cour »).
YangbanLes yangban (, historiquement 량반 ryangban) constituaient une classe sociale en Corée jusqu'en 1910 et l'annexion de la Corée par le Japon. Elle se composait d'hommes éduqués selon l'idéal confucéen. Le mot yangban (littéralement : les deux classes) réfère aux deux enseignements professés aux yangban en devenir : l'enseignement littéraire (munban) et l'enseignement martial (muban). Cette classe sociale équivaut pour la France à la haute bourgeoisie d'ancien régime.