Grande puissancevignette|Les grandes puissances sont reconnues dans une structure internationale telle que le Conseil de sécurité des Nations unies. Le terme grande puissance est généralement attribué aux pays qui, au travers de leur économie, leur politique étrangère et leur force militaire, ont un rayonnement et une influence au niveau mondial. Les décisions prises par les grandes puissances ont souvent un impact sur les autres nations qui les prennent en compte pour leur propre politique, décisions militaires ou diplomatiques.
Réalisme classique (relations internationales)lien=//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/84/Machivelli.jpg/220px-Machivelli.jpg|vignette| Statue du philosophe florentin Machiavel, l'auteur du Prince. Il est considéré, avec Thucydide, comme l'un des fondateurs du courant réaliste en politique internationale. Il est souvent vu comme le père de la philosophie politique et des sciences politiques modernes. Le réalisme classique est une théorie des relations internationales issue de l'école de pensée réaliste.
Power politicsPower politics is a theory of power in international relations which contends that distributions of power and national interests, or changes to those distributions, are fundamental causes of war and of system stability. The concept of power politics provides a way of understanding systems of international relations: in this view, states compete for the world's limited resources, and it is to an individual state's advantage to be manifestly able to harm others.
Dilemme de sécuritéLe concept de dilemme de sécurité est un concept utilisé en théorie des relations internationales. Un État accroit sa puissance militaire pour garantir sa sécurité, ce qui est perçu comme une menace par un autre État, qui va à son tour renforcer sa puissance militaire. Le niveau de conflictualité global et d'insécurité globale augmente donc, alors que chaque État renforce sa propre sécurité. Tout État qui augmente sa propre sécurité contribue dans le même temps à augmenter l'insécurité globale et donc à diminuer sa propre sécurité.
Guerrethumb|300px|Cologne en Allemagne, le , totalement détruite par les bombardements. La guerre se définit comme un état de conflit armé entre plusieurs groupes politiques constitués, comme des États. Par opposition aux guerres entre États, une guerre peut aussi désigner un conflit armé entre deux factions de populations opposées à l'intérieur d'un même État : on parle alors de guerre de religion, guerre civile, de guerre ethnique, de guerre révolutionnaire ou encore de guerre de sécession. Les États font la guerre aux autres États.
Idéalisme (relations internationales)vignette|Le président américain Woodrow Wilson figure de l'idéalisme. En relations internationales, l’idéalisme promeut une diplomatie ouverte et multilatérale, régulée par le droit international et les organisations internationales. Une première théorie de l'idéalisme est énoncée par Emmanuel Kant dans Vers la paix perpétuelle. Woodrow Wilson, auteur des 14 points et initiateur de l'idée de la Société des Nations, a proposé un ordre international fondé sur les principes de l'idéalisme au lendemain de la Première Guerre mondiale (voir Idéalisme wilsonien).
Réalisme défensifLe réalisme défensif est une théorie des relations internationales, dérivée du réalisme et du néoréalisme. Cette théorie trouve son fondement dans l'ouvrage de Kenneth Waltz intitulé Theory of International Politics, paru en 1979, où l'auteur affirme que la structure anarchique du système international encourage les États à maintenir des politiques modérées et réservées pour atteindre la sécurité nationale. En revanche, le réalisme offensif suppose que les États cherchent à maximiser leur pouvoir et leur influence pour atteindre la sécurité par la domination et l'hégémonie.
École anglaiseL'École anglaise (en anglais : English school), également présentée comme réalisme libéral ou institutionnalisme britannique, est un courant de pensée en relations internationales. Elle est représentée par des auteurs comme Martin Wight, Hedley Bull, David Mitrany ou encore John Burton. Elle envisage les relations internationales comme un faisceau complexe de relations entre les États, qui forme une « société internationale » (et pas seulement un « système inter-étatique »).
Complex interdependenceInstitutional liberalismNeoliberalism (international relations) and Liberalism (international relations)Complex interdependence in international relations and international political economy is a concept put forth by Robert Keohane and Joseph Nye in the 1970s to describe the emerging nature of the global political economy. The concept entails that relations between states are becoming increasingly deep and complex. These increasingly complex webs of economic interdependence undermine state power and elevate the influence of transnational non-state actors.
Constructivisme (relations internationales)Le Constructivisme en relations internationales vient de l'adaptation par des auteurs comme Alexander Wendt, Nicholas Onuf, Peter J. Katzenstein, Michael Barnett, Kathryn Sikkink, John Ruggie et Martha Finnemore, du constructivisme social, une école née en sociologie dans les années 1960, au champ des relations internationales dont il est devenu la troisième école de pensée en importance. Trois éléments font du constructivisme une théorie à part entière des théories des relations internationales.