Playfair's axiomIn geometry, Playfair's axiom is an axiom that can be used instead of the fifth postulate of Euclid (the parallel postulate): In a plane, given a line and a point not on it, at most one line parallel to the given line can be drawn through the point. It is equivalent to Euclid's parallel postulate in the context of Euclidean geometry and was named after the Scottish mathematician John Playfair. The "at most" clause is all that is needed since it can be proved from the remaining axioms that at least one parallel line exists.
Lénárt sphereA Lénárt sphere is a educational manipulative and writing surface for exploring spherical geometry, invented by Hungarian István Lénárt as a modern replacement for a spherical blackboard. It can be used for visualizing the geometry of points, great and small circles, triangles, polygons, conics, and other objects on a sphere, and comparing spherical geometry to Euclidean geometry as drawn on a flat piece of paper or blackboard. The included spherical ruler and compass support synthetic straightedge and compass construction on the sphere.
Plan projectif réelEn géométrie, le plan projectif réel, noté RP ou P(R), est un exemple simple d'espace projectif (le corps des scalaires est constitué des nombres réels et la dimension est 2), permettant d'illustrer les mécanismes fondamentaux de la géométrie projective. Notamment, des représentations graphiques simples sont possibles qui font apparaître les caractéristiques propres à cette géométrie, contrairement au cas d'espaces construits sur d'autres corps.
Saccheri quadrilateralA Saccheri quadrilateral is a quadrilateral with two equal sides perpendicular to the base. It is named after Giovanni Gerolamo Saccheri, who used it extensively in his 1733 book Euclides ab omni naevo vindicatus (Euclid freed of every flaw), an attempt to prove the parallel postulate using the method reductio ad absurdum. Such a quadrilateral is sometimes called a Khayyam–Saccheri quadrilateral to credit Persian scholar Omar Khayyam who described them in his 11th century book Risāla fī šarḥ mā aškala min muṣādarāt kitāb Uqlīdis (Explanations of the difficulties in the postulates of Euclid).
Mathématiques de la Grèce antiquevignette|right|250px|Illustration de la preuve d'Euclide du théorème de Pythagore. Les mathématiques de la Grèce antique sont les mathématiques développées en langue grecque, autour de la mer Méditerranée, durant les époques classique et hellénistique. Elles couvrent ainsi une période allant du jusqu'au de notre ère. Les mathématiques hellénistiques incluent toutes celles écrites en grec. Elles englobent donc les mathématiques égyptiennes et babyloniennes d'une grande partie de cette époque.
Géométrie non euclidienneLa géométrie non euclidienne (GNE) est, en mathématiques, une théorie géométrique ayant recours aux axiomes et postulats posés par Euclide dans les Éléments, sauf le postulat des parallèles. Les différentes géométries non euclidiennes sont issues initialement de la volonté de démontrer la proposition du cinquième postulat, qui apparaissait peu satisfaisant en tant que postulat car trop complexe et peut-être redondant avec les autres postulats).
Géométrie absolueLa géométrie absolue (parfois appelée géométrie neutre) est une géométrie basée sur le système d'axiomes de la géométrie euclidienne, privé de l'axiome des parallèles ou de sa négation. Elle est formée des résultats qui sont vrais à la fois en géométrie euclidienne et en géométrie hyperbolique, parfois énoncés sous une forme affaiblie par rapport à l'énoncé euclidien traditionnel. La géométrie absolue fut introduite (sous ce nom) par János Bolyai en 1832 ; le terme de géométrie neutre (sous-entendu par rapport à l'axiome des parallèles) lui a été parfois préféré, pour éviter de donner l'impression que toute autre géométrie en découle.