Résumé
thumb|250px|alt=Poulets déplumés et entassés|Poulets en batterie. thumb|250px|Poissons rouges dans un aquarium. thumb|250px|alt=Rongeurs ébouriffés dans un aquarium sale|Hamsters dans une animalerie. Le bien-être animal est une problématique concernant l'amélioration de la condition animale en ce qu'elle est dégradée par l'utilisation et l'exploitation des animaux ; et la base de divers efforts tendant à ce que toute souffrance animale inutile soit autant que possible évitée. Les activités en cause sont les systèmes d’élevage intensif, le gavage des oies et des canards, des méthodes d'élevage et d'abattage des animaux à fourrure, de l'expérimentation animale en laboratoire, de la maltraitance des animaux domestiques et familiers, de certains spectacles comme le combat de chiens, de coqs, les cirques et la tauromachie, de la garde en captivité d’animaux sauvages dans les zoos, les parcs aquatiques ou les fermes d’ours en Asie. La souffrance chez les animaux sauvages en liberté est également remise en cause à travers des techniques de capture comme les pièges à mâchoire, des méthodes de chasse comme la chasse à courre ou aux mammifères marins (phoques, cétacés), ou certains types de pêche comme le en. Les Britanniques sont précurseurs dans ce domaine qu'ils désignent par animal welfare, notion qui va bien au-delà de celle de « bien-traitance ». L'éthique animale anglo-saxonne établit une distinction entre deux grands ensembles : le bien-être animal (domaine dont les origines historiques remontent au et qui s'appuie depuis les années 1980 sur la science du bien-être animal) et les droits des animaux dont les premières lois anti-cruauté apparaissent dans les pays anglo-saxons au (Martin's Act en Angleterre 1822, État de New-York en 1829 et du Massachusetts en 1836, Australie en 1837, Nouvelle-Zélande en 1840). Des débats dans les années 1980 conduisent à la rupture entre éthique animale conséquentialiste sentientiste, et éthique environnementale écocentrée, la première étant en faveur d'un interventionnisme qui entre en conflit avec la pensée conservationniste de la seconde qui valorise la naturalité ou l'autonomie des systèmes écologiques.
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