Dans la biologie de l'évolution, Robert Trivers fut le premier à définir le terme d'investissement parental (IP) comme tout investissement par le parent dans une descendance individuelle qui en augmente la chance de survie (et par là la réussite de la reproduction), mais en ôtant au parent des possibilités d'investir dans une autre progéniture. En d'autres termes, cela représente ce que les parents dépensent (en temps, énergie, etc.) et qui profite à leur progéniture mais les empêche d'investir dans d'autres composants de leur valeur sélective, comme le bien-être de leur descendance déjà existante et future et leur propre bien-être. Ceux-ci comprennent le bien-être de leur descendance déjà existante et future et leur propre bien-être.
Le biologiste Ronald Aylmer Fisher évoque le concept de dépense parentale (c'est-à-dire la part de ressource parentale, temps ou énergie, investie dans les soins parentaux apportés à la progéniture) dans son ouvrage publié en 1930, Trivers introduisant en 1972 le terme d’investissement parental comme unité fondamentale pour mesurer toutes les ressources qu’un parent investit sur sa progéniture. Le biologiste évoque le même concept sous le nom d’effort parental.
Dans la théorie des histoires de vie, les investissements reproducteurs peuvent être compris en termes de compromis pour l'allocation de ressources entre la reproduction et l'investissement parental. Trivers observe une asymétrie d'investissement entre les mâles et les femelles, ces dernières, chez de nombreuses espèces animales, investissant davantage de ressources dans leur descendance que les mâles. Cette différence d’investissement est due à l'anisogamie (investissement initial disproportionné dans peu d'ovules mais bien plus gros que les nombreux petits spermatozoïdes produits pas les mâles), et au fait que, bien souvent, les femelles participent davantage aux soins aux jeunes que les mâles. Ces derniers augmentent leur succès reproducteur via une augmentation de l'accès aux femelles réceptives (sélection intersexuelle et sélection intrasexuelle).
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Reproductive success is an individual's production of offspring per breeding event or lifetime. This is not limited by the number of offspring produced by one individual, but also the reproductive success of these offspring themselves. Reproductive success is different from fitness in that individual success is not necessarily a determinant for adaptive strength of a genotype since the effects of chance and the environment have no influence on those specific genes.
La sélection intersexuelle désigne, en biologie de l'évolution, la pression sélective exercée sur les individus d'une espèce sexuée par le choix, fait par les individus d'un des deux sexes (généralement le sexe femelle), du ou des individu(s) de l'autre sexe qui lui donneront des descendants. Cette forme de sélection sexuelle s'oppose à la sélection intrasexuelle, bien que ces deux mécanismes évolutifs interagissent fortement.
La théorie des histoires de vie est une branche de la biologie évolutive. Elle tente d’expliquer comment l’évolution forme les différents organismes pour qu’ils atteignent le succès reproducteur. Elle analyse ce qui cause les différences de valeur adaptative (« fitness ») entre les différents génotypes et phénotypes retrouvés dans la nature. Elle est essentielle à la compréhension de l’action de la sélection naturelle. De plus, la dynamique des populations d’espèces interagissant ensemble est déterminée par leurs traits d’histoire de vie ainsi que par la plasticité de ceux-ci.
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La psychologie évolutionniste est une discipline située au carrefour de la biologie, de la psychologie, de l'anthropologie, des sciences sociales et naturelles qui examine les traits psychologiques et
Explore les stratégies de comportement conjugal, y compris l'accouplement à court terme et les relations extraconjugales, en analysant les différences entre les hommes et les femmes dans la sélection des partenaires.
Examine l'évolution des stratégies de reproduction des femmes et des préférences de sélection des partenaires, en mettant l'accent sur le rôle de l'investissement parental et le statut social.
Discute de l'investissement parental, de l'implication paternelle, de l'altruisme, des conflits familiaux et de la parenté génétique dans les familles.
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Springer2017
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