Concept

Jesa

Jesa (, tɕe.sa) is a ceremony commonly practiced in China and Korea. Jesa functions as a memorial to the ancestors of the participants. Jesa are usually held on the anniversary of the ancestor's death. The majority of Catholics, Buddhists and nonbelievers practice ancestral rites, although Protestants do not. The Catholic ban on ancestral rituals was lifted in 1939, when Pope Pius XII formally recognized ancestral rites as a civil practice (see Chinese Rites controversy). Many Korean Christians, particularly Protestants, no longer practice this rite. Christians generally, and Muslims avoid the rites, and many emigrants avoid the rites. Since their origins, Jesa has taken on a certain formality as human civilization has developed, which is sometimes called rituals in Confucianism. Jesa, 祭祀 (corresponding to English: sacrifice (祭), ritual (祀); 제사) evolved from the ancient Chinese sacrifice ritual, which refers to the use of string incense, wine, water, meat, vegetables, cloth, and jade (a traditional Confucian sacrifice) to the deity, saints or dead souls, prayer. The noble class during the Shang and Zhou dynasties had a highly structured and hierarchical ritual system that granted them exclusive power to communicate with the gods. Only the king held the authority and means to gather the clans and produce ceremonial vessels, which allowed him to reinforce his legitimacy as ruler. In "Art, Myth, and Sacrifice", author Chang Guang-chih posits that the political power of the ruling class in ancient China was derived from these rituals. These rituals eventually transformed into laws that sustained the stability of society, and the sites where they were performed served as venues for governance, conflict resolution, and legal proceedings. Even after the collapse of the feudal system, the new ruler, the Emperor, continued to perform these rituals. The objects of sacrifice in the Shang dynasty were natural animism and ancestors of the royal family.

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Concepts associés (3)
Sanctuaire des ancêtres
vignette|400px|La à Hong Kong. Un sanctuaire des ancêtres (祠堂 ou 宗祠, en vietnamien : Nhà thờ họ), aussi appelé salle des ancêtres, temple des ancêtres et temple de la lignée, est un édifice dédié à la et des fondateurs de lignées familiales dans la tradition chinoise. Ces sanctuaires sont étroitement liés à la philosophie et la culture confucianistes et l'accent qu'elles mettent sur la piété filiale. vignette|300px|Autel avec tablettes ancestrales au de Hong Kong.
Chamanisme coréen
vignette|Cérémonie de kut en octobre 2007. Le chamanisme coréen, appelé localement le Shinisme ou Sinisme (en coréen : 신교, hanja : 神敎; Shingyo ou Shinkyo, qu'on peut traduire en « religion des esprits/dieux ») ou Shindo (en coréen : 신도, hanja : 神道, « la voie des esprits »), est une forme de croyance animiste très ancienne de la péninsule coréenne. Il consiste en un culte s'adressant à des esprits (신 shin), aux ancêtres (조상 josang) ainsi qu'à des esprits de la nature.
Culte des ancêtres
Le culte des ancêtres est une pratique commune à beaucoup de religions. Abandonné sous sa forme initiale dans de nombreux endroits, ce type de culte subsiste à Madagascar, en Chine, au Viêt Nam, en Corée du Sud, au Mexique, ou en Europe à travers un syncrétisme avec le christianisme. Les religions orientales ont intégré depuis l'origine le culte des ancêtres.

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